Les titres francophones connaissent une concentration extrême sur 10 titres et une concentration totale sur 100 titres. Les nouvelles Productions Francophones sont encore plus concentrées que la moyenne des titres francophones, soit une concentration totale sur 50 titres
Si le nombre de nouveautés francophones envoyées aux radios a progressé de 7% en 1 an, sur les 448 nouvelles productions envoyées aux radios via Muzicenter, 10 d’entre elles (seulement 2%) capteront les trois quarts des diffusions. C'est donc "moins de diversité pour la francophonie" note le Snep dans son bilan 2014 du marché de la musique.
Si le nombre de nouveautés francophones envoyées aux radios a progressé de 7% en 1 an, sur les 448 nouvelles productions envoyées aux radios via Muzicenter, 10 d’entre elles (seulement 2%) capteront les trois quarts des diffusions. C'est donc "moins de diversité pour la francophonie" note le Snep dans son bilan 2014 du marché de la musique.
Les playlists francophones sont composées d’un nombre beaucoup plus restreint que les playlists internationales
Un nombre de titres de plus en plus réduit.
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"Au cours de ces dernières années, la place des productions francophones en radio n’a cessé de baisser pour aboutir aujourd’hui à un inquiétant déficit d’artistes francophones en radio. Pour réaliser leurs obligations légales de diffusion francophone, certaines radios ont concentré leur programmation sur un nombre de titres de plus en plus réduit. Les artistes francophones ont donc subi une double peine : moins d’exposition et moins de diversité" explique le Snep.
Près des deux tiers de la diffusion francophone des 4 principaux réseaux jeunes sont concentrés sur 10 titres.
"Ce n’est pas une situation acceptable pour les producteurs. Pour se faire connaître du public, les artistes francophones ont besoin de fortes rotations en radio. Ce que déplorent les producteurs, ce sont les rotations extrêmes, au détriment des autres productions. Quand une radio diffuse un titre plus de 100 fois par semaine pendant plusieurs semaines, on comprend que l’auditeur ait envie de découvrir d’autres titres".
Près des deux tiers de la diffusion francophone des 4 principaux réseaux jeunes sont concentrés sur 10 titres.
"Ce n’est pas une situation acceptable pour les producteurs. Pour se faire connaître du public, les artistes francophones ont besoin de fortes rotations en radio. Ce que déplorent les producteurs, ce sont les rotations extrêmes, au détriment des autres productions. Quand une radio diffuse un titre plus de 100 fois par semaine pendant plusieurs semaines, on comprend que l’auditeur ait envie de découvrir d’autres titres".