"Depuis que je suis toute petite, je suis fascinée par le son des voix parlées et chantées. C’est comme ça et cela ne s’explique" pas souligne Ludivine Aubourg. "A la base, je suis musicienne… Mais ce côté anonyme de la voix en radio et en doublage m’a toujours attiré. Je me souviens des jingles chantés comme ceux de Carrefour et que j’entendais à la radio". Des publicités qui ont provoqué chez elle une sorte de syndrome de Stendhal, tant et si bien que la jeune fille a, déjà, une très riche carrière derrière elle.
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