Anna Jobin, 38 ans, est chercheuse associée du Laboratoire d'études des sciences et des techniques (STSLab) de l'Université de Lausanne et collaboratrice spécialisée à l'Alexander Humboldt Institut für Internet und Gesellschaft de Berlin. Elle mène des recherches et rédige des publications consacrées notamment à l'éthique des algorithmes et de l'intelligence artificielle, ainsi qu’à la gouvernance de la numérisation. Elle est ainsi l'experte idéale pour coordonner le travail de la COFEM en ce qui concerne les défis futurs du paysage suisse des médias. Anna Jobin est membre de la COFEM depuis 2020, elle en prendra la présidence le 1er octobre 2021.
Vous aimerez aussi
-
Le MAG 167 - La Suisse dit adieu à la FM et généralise le DAB+
-
Le MAG 167 - En Suisse, l’arrêt progressif de la FM s’organise
-
La Suisse dit adieu à la FM et généralise le DAB+
-
RTS en Suisse : dernières semaines avant le passage au DAB+
-
La RTS finalise son plan d’économies 2025 "avec un impact limité"
Otfried Jarren, professeur émérite en sciences de la communication et des médias à l'Université de Zurich, dirige la COFEM depuis sa création en 2013. Sous sa présidence, la Commission fédérale des médias est devenue un organe important pour les questions actuelles de politique des médias. Elle a rédigé des prises de position largement discutés sur le service public, sur l’aide aux médias ou sur l'avenir des médias en Suisse.
Sur mandat du Conseil fédéral, la COFEM observe le système suisse des médias, analyse des thèmes concrets en lien avec les médias et formule des recommandations sur des questions spécifiques. En tant que commission administrative extraparlementaire, elle a une fonction consultative et préparatoire, mais ne dispose pas de pouvoir décisionnel.
Sur mandat du Conseil fédéral, la COFEM observe le système suisse des médias, analyse des thèmes concrets en lien avec les médias et formule des recommandations sur des questions spécifiques. En tant que commission administrative extraparlementaire, elle a une fonction consultative et préparatoire, mais ne dispose pas de pouvoir décisionnel.