J'ai regardé ce que veut dire le mot "migration". C'est un "déplacement volontaire d'individus ou de populations d'un pays dans un autre". Il y a un deuxième sens adapté au monde animal : "Voyage annuel d'une population animale depuis son aire de reproduction jusqu'à une aire d'hivernage" selon le Larousse. Enfin, il y a un troisième sens, celui qui nous intéresse ici : "transformation de données, de programmes ou de logiciels afin de les rendre compatibles avec un autre environnement informatique". Ce qu'il faut retenir dans les deux premières c'est le mot "déplacement" et dans la troisième définition, c'est l'adjectif "compatibles".
Les raisons de la séparation
Mais quelle mouche peut piquer un podcasteur pour que celui-ci change d'hébergeur ? Ça, c'est une question intéressante. Alors, voyons très rapidement quelques raisons : le coût (l'abonnement est trop cher), la fluidité (le mise en ligne est trop lente ou fastidieuse), la mécanique (l'hébergeur est trop souvent en panne), l'image (l'hébergeur n'incarne pas vos valeurs)... et, au bout du bout, l'arrêt de l'activité liée au podcast qui entraîne, in fine, la rupture de l'abonnement avec l'hébergeur.
Réfléchir avant. Cliquer après
On fait souvent l'inverse sur le web. Et souvent, on le regrette. Quel intérêt d'ailleurs auriez-vous à quitter un hébergeur pour un autre ? On ne quitte pas un hébergeur sur un coup de tête. Alors, il faut consacrer du temps à la réflexion, personne ne le fera à votre place. Prendre du temps pour lire votre contrat. Et puis, aussi et surtout, recenser les outils et les services mis à votre disposition. Mettez dans la balance le prix de l'abonnement et la durée d'abonnement, l'engagement. Par exemple, si votre podcast connait un certain succès, pourriez-vous engager dans un processus de monétisation ? Autre exemple, partir d'un hébergeur, c'est aussi perdre ses statistiques d'audience et donc repartir à zéro. C'est dur sur le plan psychologique.
Le meilleur hébergeur, c'est vous
Un site vitrine, c'est votre première plateforme. Une sorte de backup personnel. Un Plan B. Vous l'entretenez tous les jours. Vous y mettez des sons, des textes, des images, des bonus. Pourquoi ? Parce qu'il ne faut jamais mettre ses œufs dans le même panier. C'est ce que l'on appelle l'indépendance. Cette autonomie, c'est une sorte de garantie sur le long terme. Si votre hébergeur venait à plier les gaules, vous auriez ainsi toujours un plan B. Le must est d'avoir un site pratique et un lecteur personnalisé. Au moins, pas de risques de se retrouver sur une ancienne page où le lecteur de votre ancien hébergeur n'apparaît plus. Une partie de votre audience passera par là. Elle devrait être relativement anecdotique mais cet outil vous servira de lieu de stockage. Une sorte de quartier général. Impossible donc d'être pris au dépourvu.
Privilégiez-le "made in France"
Des hébergeurs français ? Oui, ça existe ! Si vous êtes en France, il faut les privilégier. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur. Ce sont des jeunes entreprises avec des vraies gens dedans. Souvent des passionnés. Des gros travailleurs qui imaginent, résolvent, développent, commercialisent... des solutions. Les relations clients y sont facilitées ce qui n'est pas forcément le cas avec des hébergeurs étrangers. Si vous prenez la décision de verser 9 euros 99 pour un abonnement mensuel, versez-les à une entreprise française !
Les raisons de la séparation
Mais quelle mouche peut piquer un podcasteur pour que celui-ci change d'hébergeur ? Ça, c'est une question intéressante. Alors, voyons très rapidement quelques raisons : le coût (l'abonnement est trop cher), la fluidité (le mise en ligne est trop lente ou fastidieuse), la mécanique (l'hébergeur est trop souvent en panne), l'image (l'hébergeur n'incarne pas vos valeurs)... et, au bout du bout, l'arrêt de l'activité liée au podcast qui entraîne, in fine, la rupture de l'abonnement avec l'hébergeur.
Réfléchir avant. Cliquer après
On fait souvent l'inverse sur le web. Et souvent, on le regrette. Quel intérêt d'ailleurs auriez-vous à quitter un hébergeur pour un autre ? On ne quitte pas un hébergeur sur un coup de tête. Alors, il faut consacrer du temps à la réflexion, personne ne le fera à votre place. Prendre du temps pour lire votre contrat. Et puis, aussi et surtout, recenser les outils et les services mis à votre disposition. Mettez dans la balance le prix de l'abonnement et la durée d'abonnement, l'engagement. Par exemple, si votre podcast connait un certain succès, pourriez-vous engager dans un processus de monétisation ? Autre exemple, partir d'un hébergeur, c'est aussi perdre ses statistiques d'audience et donc repartir à zéro. C'est dur sur le plan psychologique.
Le meilleur hébergeur, c'est vous
Un site vitrine, c'est votre première plateforme. Une sorte de backup personnel. Un Plan B. Vous l'entretenez tous les jours. Vous y mettez des sons, des textes, des images, des bonus. Pourquoi ? Parce qu'il ne faut jamais mettre ses œufs dans le même panier. C'est ce que l'on appelle l'indépendance. Cette autonomie, c'est une sorte de garantie sur le long terme. Si votre hébergeur venait à plier les gaules, vous auriez ainsi toujours un plan B. Le must est d'avoir un site pratique et un lecteur personnalisé. Au moins, pas de risques de se retrouver sur une ancienne page où le lecteur de votre ancien hébergeur n'apparaît plus. Une partie de votre audience passera par là. Elle devrait être relativement anecdotique mais cet outil vous servira de lieu de stockage. Une sorte de quartier général. Impossible donc d'être pris au dépourvu.
Privilégiez-le "made in France"
Des hébergeurs français ? Oui, ça existe ! Si vous êtes en France, il faut les privilégier. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur. Ce sont des jeunes entreprises avec des vraies gens dedans. Souvent des passionnés. Des gros travailleurs qui imaginent, résolvent, développent, commercialisent... des solutions. Les relations clients y sont facilitées ce qui n'est pas forcément le cas avec des hébergeurs étrangers. Si vous prenez la décision de verser 9 euros 99 pour un abonnement mensuel, versez-les à une entreprise française !