Inondations, éruptions volcaniques, tremblements de terre, multiplication des incidents nucléaires ou de pollution… Dans les situations suivant immédiatement une catastrophe mais aussi, dans les situations précédant ces catastrophes, la radio a démontré son utilité. Elle diffuse des alertes aux tsunamis au Japon et au Chili, des messages sur la façon d'éviter la transmission du virus Ebola au Libéria ou la contagion de Zika au Brésil. La radio (accessible, disponible, offrant une couverture et un rapport en temps réel, avec la possibilité de faire participer son audience) joue donc un rôle central dans la prévention et l'atténuation des catastrophes et des coûts humains associés.
"Sauver des vies"
"Dans les décombres et face à l’urgence, la radio est souvent le premier média de la survie. Sa pérennité est un atout incomparable. Elle lui permet souvent mieux et plus vite que d’autres médias de résister aux chocs et de retransmettre des messages de protection et de prévention auprès du plus grand nombre, et de sauver de vies" a déclaré la directrice générale de l'UNESCO, Irina Bokova.
Cette Journée mondiale de la radio 2016 met donc l’accent sur le rôle unique que joue la radio en situation d'urgence et en cas de catastrophes naturelles. Elle est également l’occasion de promouvoir les démarches positives qui réunissent des radios publiques et privées, des radios communautaires ainsi que des ONG humanitaires.
Les principaux partenaires sont le groupe France Médias Monde (dont font partis Radio France Internationale et la station Monte Carlo Doualiya, MCD), la première chaîne privée espagnole Cadena SER (Prisa) et la webradio Saooti.com.
Les principaux partenaires sont le groupe France Médias Monde (dont font partis Radio France Internationale et la station Monte Carlo Doualiya, MCD), la première chaîne privée espagnole Cadena SER (Prisa) et la webradio Saooti.com.