660 millions d'euros de budget
"Nous savons que les tendances ne seront pas les mêmes que celles que celles nous avons connues dans les belles années. Nous avons intégré ces contraintes. Je ne crois plus au Père Noël (...) Les crédits du ministère de la culture sont en forte baisse. La redevance augmente moins vite du fait d'une faible l'inflation. Je plaide donc pour que l'on revoit l'assiette de la redevance pour nous donner la possibilité de financer ces nouveaux développements numériques". Premier round.
Composer avec la contrainte budgétaire
Parce que, selon Mathieu Gallet, la radio est un média enrichi (par du texte, par de l'infographie par de l'image, par de la vidéo), il y a donc une logique à ce que "la redevance soit perçue sur une assiette plus large".
Par ailleurs, et même si le jeune PDG n'est pas pour donner plus de place à la publicité, "un certain nombre de choses doivent changer dans le cahier des charges". La possibilité d'ouvrir les chaines à de la publicité reste donc envisageable notamment pour "les groupes dans lesquels l'Etat a des parts, même minoritaires. Je ne souhaite pas que l'on ait de la publicité telle qu'elle existe sur les chaines privées. Il y a de publicité qui correspond au Service Public : Air France, la SNCF, La Poste...". Deuxième Round.
Par ailleurs, et même si le jeune PDG n'est pas pour donner plus de place à la publicité, "un certain nombre de choses doivent changer dans le cahier des charges". La possibilité d'ouvrir les chaines à de la publicité reste donc envisageable notamment pour "les groupes dans lesquels l'Etat a des parts, même minoritaires. Je ne souhaite pas que l'on ait de la publicité telle qu'elle existe sur les chaines privées. Il y a de publicité qui correspond au Service Public : Air France, la SNCF, La Poste...". Deuxième Round.