"Nous sommes en première ligne car le traitement des données vocales nécessite moins de puissance de calcul que l’image. Nous savons cependant que des technologies se développent pour générer des séquences ou des films entiers avec des "acteurs synthétiques", non pas pour des œuvres d’animation ou de science-fiction, mais pour remplacer des êtres humains dans tous les genres. Les personnages fabriqués par les ordinateurs sont plus flexibles, plus maniables et, à terme, bien moins chers" expliquent le SFA et l'association LESVOIX.
"Il est du devoir des pouvoirs publics d’agir, non pour empêcher l’innovation, mais pour réguler le développement de l’IA générative de manière à protéger les artistes, les œuvres, la culture et l’emploi. Le gouvernement reste sourd à nos demandes, en prétextant l’urgence de développer des outils français et européens, face aux géants américains et chinois. Mais ces mêmes pays, étonnamment, semblent plus prêts à réguler que le nôtre".
En ligne sur la plateforme change.org, cette pétition a déjà recueilli plus de 22 000 signatures...
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