Motif de cette pétition ? Les locales de Fip à Bordeaux, Nantes et Strasbourg seraient "condamnées à terme". Pour les auteurs de cette pétition : "Il serait malvenu de détourner l’ancrage sur lequel les équipes ont travaillé des années (plus de 40!), pour en faire un outil de matraquage médiatique pour des campagnes de promos nationales, même de qualité. Fip est aussi un acteur local majeur… la pépite parle aux multitudes de pépites qui existent partout en France. Elle leur chuchote à l’oreille individuellement".
Un récent article de Rue89 a mis le feu aux poudres... À Bordeaux, comme à Nantes et Strasbourg, les stations seraient "appelées à se taire". L'article s'appuie sur un "projet présenté par la direction de Radio France en cette rentrée 2017" et rappelle que "toutes trois offrent chaque jour douze heures de programmes locaux (ou « décrochages » dans le jargon). Le fonctionnement est particulier : si la musique est envoyée depuis Paris, les animatrices s’expriment bel et bien depuis la rive droite bordelaise".
La pétition est disponible ICI.
La pétition est disponible ICI.