Les locaux de France Bleu à Grenoble ravagés par un incendie / Photo Twitter @bleu_isere
Une première piste après l'incendie criminel de France Bleu Isère à Grenoble, dans la nuit du dimanche à lundi dernier. Un site anarcho-libertaire et anticapitaliste a revendiqué l'attaque sur son blog, selon France Bleu Isère.
Dans ce texte, les auteurs justifient leurs actes et revendiquent un autre incendie. "Beaucoup font couler l’encre à propos des médias pour les critiquer, peu font couler l’essence dans leur locaux pour les incendier. A cela on remédie. Dans les bureaux des radios dans le centre-ville, lundi. Dans la tour hertzienne en périphérie, cette nuit." Il s'agit de l'incendie d'un émetteur TDF ce mardi 29 janvier au sud de Grenoble sur le site de Haute-Jarrie qui perturbe les programmes de plusieurs radios, notamment la station associative Radio Passion et des opérateurs de téléphonie mobile. "Ce que les incendiaires convoitent, que les flammes s’en saisissent", peut-on lire également.
Dans ce texte, les auteurs justifient leurs actes et revendiquent un autre incendie. "Beaucoup font couler l’encre à propos des médias pour les critiquer, peu font couler l’essence dans leur locaux pour les incendier. A cela on remédie. Dans les bureaux des radios dans le centre-ville, lundi. Dans la tour hertzienne en périphérie, cette nuit." Il s'agit de l'incendie d'un émetteur TDF ce mardi 29 janvier au sud de Grenoble sur le site de Haute-Jarrie qui perturbe les programmes de plusieurs radios, notamment la station associative Radio Passion et des opérateurs de téléphonie mobile. "Ce que les incendiaires convoitent, que les flammes s’en saisissent", peut-on lire également.
Attaque contre les journalistes
Les auteurs sont sans équivoque à l'égard de la presse : "De tous les dompteurs de for intérieur qui existent, celui que je déteste le plus, le journaliste". Et dénonce "les industriels d’hypnoses collectives, contre les fabricants de subjectivités consentantes à la société existante". Le texte lance également "bravo aux individu·e·s enfin, qui, par monts et par vaux, perpétuent l'attaque et veulent tout mettre à sac".