Retrouverait-on un rythme de croisière d’avant-crise ? Il faut croire que oui si l’on en juge par la densité des manifestations B2B qui vont rythmer cette fin d’année dans le secteur de la radio et de l’audio digital. Du NAB Show à New York à Médias en Seine à Paris en passant par les congrès de la CNRA ou du SNRL, il aura donc fallu plus de deux ans pour que l’industrie se remette en ordre de marche. Un retour à la normale sous conditions : le spectre d’une reprise du Covid ou l’instabilité géopolitique et ses possibles conséquences sont toujours dans les esprits. Et pas forcément dans les seuls esprits des auditeurs. Les dirigeants sont prudents, attentifs, circonspects et même prévoyants.
À Paris ou dans les régions, l’hiver risque d’être rude et la facture énergétique salée. Quand on sait que la diffusion représente environ les deux tiers de la consommation énergétique pour une radio, il y a là matière à s’inquiéter si les prix s’envolent ou si une pénurie venait à s’installer. Pour autant, le média radio n’est pas si énergivore qu’on pourrait le croire. Mais la diffusion est gourmande et la mettre au régime sec est impossible. L’hiver sera celui des choix pour continuer à alimenter son parc de fréquences et donc, sa diffusion. C’est un vrai sujet d’inquiétude si la situation en Europe venait à se tendre davantage.
À la veille d’un passage à l’heure d’hiver et de longues journées grises et froides, la radio doit jouer le rôle qu’elle maîtrise depuis des décennies : informer et divertir. Parfois, surprendre et être présente là où on ne l’attend pas. Se rapprocher des auditeurs. Maintenir ce haut degré de confiance dont elle jouit depuis des années. C’est surtout dans ces périodes incertaines que la radio est la meilleure, qu’elle est efficace et qu’elle tient sa promesse.
À Paris ou dans les régions, l’hiver risque d’être rude et la facture énergétique salée. Quand on sait que la diffusion représente environ les deux tiers de la consommation énergétique pour une radio, il y a là matière à s’inquiéter si les prix s’envolent ou si une pénurie venait à s’installer. Pour autant, le média radio n’est pas si énergivore qu’on pourrait le croire. Mais la diffusion est gourmande et la mettre au régime sec est impossible. L’hiver sera celui des choix pour continuer à alimenter son parc de fréquences et donc, sa diffusion. C’est un vrai sujet d’inquiétude si la situation en Europe venait à se tendre davantage.
À la veille d’un passage à l’heure d’hiver et de longues journées grises et froides, la radio doit jouer le rôle qu’elle maîtrise depuis des décennies : informer et divertir. Parfois, surprendre et être présente là où on ne l’attend pas. Se rapprocher des auditeurs. Maintenir ce haut degré de confiance dont elle jouit depuis des années. C’est surtout dans ces périodes incertaines que la radio est la meilleure, qu’elle est efficace et qu’elle tient sa promesse.