Pierre Montel, Délégué Général du SNRL (Syndicat National des Radios Libres) se félicite de ce score. « Notre audience reste très stable, avec une légère baisse sur un an, mais elle se renforce le week-end avec une durée d’écoute en hausse moyenne d’une demi-heure ! »
Très belle performance en effet, qui illustre encore à quel point les radios associatives forment des radios d’offre plus que de demande. Des radios que l’on vient aussi écouter sur des propositions précises, à des moments choisis. En ce sens, elles participent de façon significative à la puissance de l’offre radio en France. Et justement, sur cette puissance, Pierre Montel a des choses à dire. Car oui, la radio se porte bien, mais certains signaux doivent selon lui ne pas être pris à la légère.
« Oui, la radio enregistre de très bons scores. Oui, elle demeure l’un des médias préférés des français. Mais il faut toutefois rester vigilant : sur cette vague encore, comparativement à l’an dernier, le média radio perd 150.000 auditeurs. Sur la vague précédente, c’était la même chose. On nous dit qu’en franchissant la barre des 43 millions d’auditeurs/jour, la radio enregistre ses plus beaux scores historiques. Oui, mais c’est à mettre en parallèle avec l’augmentation continue de la population française. Et si l’on met ces chiffres en concordance, on constate que la radio perd silencieusement et discrètement quelques milliers d’auditeurs par vague. »
Très belle performance en effet, qui illustre encore à quel point les radios associatives forment des radios d’offre plus que de demande. Des radios que l’on vient aussi écouter sur des propositions précises, à des moments choisis. En ce sens, elles participent de façon significative à la puissance de l’offre radio en France. Et justement, sur cette puissance, Pierre Montel a des choses à dire. Car oui, la radio se porte bien, mais certains signaux doivent selon lui ne pas être pris à la légère.
« Oui, la radio enregistre de très bons scores. Oui, elle demeure l’un des médias préférés des français. Mais il faut toutefois rester vigilant : sur cette vague encore, comparativement à l’an dernier, le média radio perd 150.000 auditeurs. Sur la vague précédente, c’était la même chose. On nous dit qu’en franchissant la barre des 43 millions d’auditeurs/jour, la radio enregistre ses plus beaux scores historiques. Oui, mais c’est à mettre en parallèle avec l’augmentation continue de la population française. Et si l’on met ces chiffres en concordance, on constate que la radio perd silencieusement et discrètement quelques milliers d’auditeurs par vague. »
Pour le délégué général du SNRL, il n’y a évidement pas de danger immédiat. « Non, mais il ne faut pas s’endormir. La radio doit continuer d’affiner son offre, ne pas manquer le virage du numérique, travailler encore plus sur les interactions avec son auditoire, les services associés. Et c’est dans cet esprit, dans cette vision "corporate" du média que nous souhaitons aborder les prochaines assises de l’audiovisuel ».