Christopher Baldelli. Photo Serge Surpin / Satellifax
Donc, peu de changements à l’antenne, sinon le départ, remarqué de quelques noms notamment Jean-Michel Aphatie, remplacé par Olivier Mazarolle ou la réduction de la durée des Nocturnes de Georges Lang.
En novembre et décembre 2014, jamais autant de gens n’ont écouté la radio chaque jour, cela veut dire que ce média, loin d’être un média du passé, est un média plein d’avenir, j’en veux pour preuve c’est qu’au moment où Apple a lancé son service de streaming, ils ont aussi lancé des radios. Si Apple se met à faire de la radio, on peut être rassuré sur l’avenir de la radio. En Angleterre, au cours de l’année 2014, l’investissement radio a progressé de 5%, et pourtant, ce pays est très digitalisé. Sur la génération des 14/25 ans, ils sont 78% à écouter la radio chaque jour" a rappelé Christopher Baldelli, le patron de RTL.
En novembre et décembre 2014, jamais autant de gens n’ont écouté la radio chaque jour, cela veut dire que ce média, loin d’être un média du passé, est un média plein d’avenir, j’en veux pour preuve c’est qu’au moment où Apple a lancé son service de streaming, ils ont aussi lancé des radios. Si Apple se met à faire de la radio, on peut être rassuré sur l’avenir de la radio. En Angleterre, au cours de l’année 2014, l’investissement radio a progressé de 5%, et pourtant, ce pays est très digitalisé. Sur la génération des 14/25 ans, ils sont 78% à écouter la radio chaque jour" a rappelé Christopher Baldelli, le patron de RTL.
RTL comme le PSG
"Nos choix ont payé. On est un peu comme le PSG : on a gagné tous les titres. RTL est passé devant NRJ en part d’audience". Mais Christopher Baldelli rappelle les pronostiques de ses confrères l’année dernière, tous faux, par exemple, NRJ, qui tournait autour de 13% et qui pensait arriver à 14% en l'espace de 2 ans... "Nous parlons toujours en part d’audience et non pas en audience cumulée, comme en télévision. En radio, il y a une confusion, certainement entretenue à dessin, entre AC et PdA. Donc, en part d’audience, RTL fait 55% de plus qu’Europe 1. L’arrivé de Laurent Ruquier a permis de légèrement rajeunir l’audience, mais on rappelle que RTL s’adresse à tous les Français, à part pour des questions publicitaires et commerciales".
Publicité et digital
"La publicité… hum… La publicité a été difficile l’année dernière pour les radios. Cette année, les deux premiers mois ont été très difficiles avec des scores clairement négatifs pour l’ensemble du secteur. Depuis le Printemps, la situation semble s’améliorer, en tout cas pour RTL. L’Eté a été bon, le début de l’Automne semble lui aussi bon, ce qui compense donc ce mauvais début d’année. Il ne faut pas être trop pessimiste et négatif, ni faire preuve d’un optimisme débridé" a indiqué Christopher Baldelli.
Du côté du numérique ? "On a recruté deux managers Thomas Karolak, qui dirige l’ensemble et Antoine Daccord, qui dirige le contenu. On a lancé le plan Renaissance qui nous a permis d’être le premier site radio de France et qui nous a permis de recevoir le prix CB News de la stratégie numérique. L’info de RTL est une référence, car on est le 12e site d’information de France".
Du côté du numérique ? "On a recruté deux managers Thomas Karolak, qui dirige l’ensemble et Antoine Daccord, qui dirige le contenu. On a lancé le plan Renaissance qui nous a permis d’être le premier site radio de France et qui nous a permis de recevoir le prix CB News de la stratégie numérique. L’info de RTL est une référence, car on est le 12e site d’information de France".
Quand ambiance rime avec "constance"
"Nous avons remarqué le plaisir qu'ont tous les animateurs et journalistes à travailler sur RTL. Tous nous ont indiqué qu'il y a une très bonne ambiance que l'on ne retrouve nulle part".
"Nous n'avons pas de difficulté à parler avec nos patrons, c'est comme une petite famille" peut-on entendre ici. Là-bas, une personnalité, qui a souvent changé d'antenne, nous avoue : "Les murs ont de la mémoire. Rue Bayard, on fait du RTL, je serais rue François 1er, je ferais du Europe 1, cela serait différent. Il y a une ambiance humaine et une culture d'entreprise, et, évidement, une exigence normale. Il y a des maisons où les équipes de direction changent trop souvent. Les auditeurs ne savent plus où ils sont, pareil pour ceux qui y travaillent. Ici, il y a une constance, des gens qui réfléchissent à long terme avec des gens qui savent où ils vont".
Ou quand "constance" peut aussi rimer avec audience...
"Nous n'avons pas de difficulté à parler avec nos patrons, c'est comme une petite famille" peut-on entendre ici. Là-bas, une personnalité, qui a souvent changé d'antenne, nous avoue : "Les murs ont de la mémoire. Rue Bayard, on fait du RTL, je serais rue François 1er, je ferais du Europe 1, cela serait différent. Il y a une ambiance humaine et une culture d'entreprise, et, évidement, une exigence normale. Il y a des maisons où les équipes de direction changent trop souvent. Les auditeurs ne savent plus où ils sont, pareil pour ceux qui y travaillent. Ici, il y a une constance, des gens qui réfléchissent à long terme avec des gens qui savent où ils vont".
Ou quand "constance" peut aussi rimer avec audience...