Les deux organisations regrettent "la fin de non-recevoir des gestionnaires actuels de RadioPlayer à leur demande de participer au tour de table". La CNRA et SNRL revendiquent un rôle de conseil et d’accompagnement auprès de leurs adhérents, "particulièrement utile lorsqu’il s’agit d’aborder de nouveaux types de diffusion numérique et complémentaire de l’actuel déploiement DAB+".
Par ailleurs, deux organisations indiquent que "des nombreuses zones d’ombres (sont) constatées par les deux organisations dans l’accès et la mise en œuvre de la diffusion de chaque éditeur par RadioPlayer".
Par ailleurs, deux organisations indiquent que "des nombreuses zones d’ombres (sont) constatées par les deux organisations dans l’accès et la mise en œuvre de la diffusion de chaque éditeur par RadioPlayer".
"Laisser un peu de temps au temps"
Dans un communiqué, les radios associatives s'interrogent sur le traitement "sur un même pied d’égalité, entre elles et avec d’autres éditeurs locaux". Elles s'interrogent également sur la façon dont seront exploitées "les données sur les auditeurs écoutant les radios diffusées par RadioPlayer". Les radios se demandent également "pourquoi la version française de RadioPlayer, qui exploite une licence britannique existant depuis 10 ans, facture-t-elle un droit d'entrée pour frais techniques de 500 € HT par radio, puis une diffusion annuelle plancher de 500 € HT pour chaque programme, alors qu'Outre-Manche, RadioPlayer facture un service annuel de base à £ 109 (126.60 € HT) ?"
Enfin, la CNRA et le SNRL rappellent qu’il existe "d’autres plateformes, et conseille à ce stade aux radios associatives de ne pas se précipiter, de "laisser un peu de temps au temps", comme le font de nombreuses radios commerciales et associatives en Europe, afin d’obtenir les éclaircissements nécessaires auprès de RadioPlayer et de la société Cosmos".
Enfin, la CNRA et le SNRL rappellent qu’il existe "d’autres plateformes, et conseille à ce stade aux radios associatives de ne pas se précipiter, de "laisser un peu de temps au temps", comme le font de nombreuses radios commerciales et associatives en Europe, afin d’obtenir les éclaircissements nécessaires auprès de RadioPlayer et de la société Cosmos".