Ces dernières années, Saooti s'est imposée en France comme un acteur de l'audio digital. L'entreprise fournit, en marque blanche, des solutions aux médias, qui se lancent dans le secteur de l'audio digital. Laurent Hué a, ce matin, dévoilé des chiffres et des bonnes pratiques à suivre dans le secteur du podcast. "
Si je ne fais pas de podcast, je laisse la palce aux concurrents nationaux, aux producteurs qui ont du talent, à la PQR... Je vais donc laisser mon territoire et ma marque disparaître progressivement au profit de ces acteurs. Donc, le premier enjeu est de développer le territoire de la marque et de l'incarner dans le monde du podcast" a martelé Laurent Hué avant d'envisager l'étape de la monétisation.
Si je ne fais pas de podcast, je laisse la palce aux concurrents nationaux, aux producteurs qui ont du talent, à la PQR... Je vais donc laisser mon territoire et ma marque disparaître progressivement au profit de ces acteurs. Donc, le premier enjeu est de développer le territoire de la marque et de l'incarner dans le monde du podcast" a martelé Laurent Hué avant d'envisager l'étape de la monétisation.
Et pour gagner de l'argent avec son podcast, il faut générer un très gros volume : pour un revenu de 10 à 15 euros par CPM (par millier d'écoute et, avec un demi-million d'écoute par mois, vous pouvez espérer percevoir 7 500 euros par mois, environ 100 000 euros par an. Plusieurs possibilités pour y parvenir... D'abord avec avec un spot audio en pré-roll, mid-roll ou post-roll. Ensuite, avec un Hostread (un journaliste pendant le podcast mentionne le nom de l'annonceur). Puis, le Bilboard et enfin le Brand Content (le contenu de marque), une production sur mesure qui n'est pas forcément construite autour d'un axe publicitaire.
D'autres solutions et potentialités sont détaillées dans ce webinar de Saooti.
D'autres solutions et potentialités sont détaillées dans ce webinar de Saooti.