Une politique musicale pilotée par la direction de la Musique et de la Création qui s’appuie sur quatre formations musicales, deux salles de concert et l’antenne de France Musique, et dont l’un des enjeux principaux est d’accompagner le public vers l’écoute croissante de la musique d’aujourd’hui, en particulier dans cette période où l’activité musicale et des salles de concerts souffrent grandement.
Au cœur d’une période très difficile pour la musique et la création, Radio France a ainsi décidé de renforcer considérablement son dispositif de soutien aux artistes et à la diversité musicale, dans la droite ligne de son engagement historique à être, toujours, au rendez-vous de l’urgence artistique.
Au cœur d’une période très difficile pour la musique et la création, Radio France a ainsi décidé de renforcer considérablement son dispositif de soutien aux artistes et à la diversité musicale, dans la droite ligne de son engagement historique à être, toujours, au rendez-vous de l’urgence artistique.
Radio France promet de doubler son budget de commandes et de relancer de grands projets symphoniques de niveau international en s’associant avec de grandes institutions et avec les orchestres de l’UER. L'entreprise affiche sa volonté de continuer de soutenir la scène française et l'émergence d’artistes français tout en renforçant la parité et en promouvant toujours plus la diversité des écritures et l’ouverture des esthétiques. Une commission d’observation, de soutien à l’émergence et d’évaluation des actions engagées sera créée, sous la présidence du directeur de la Musique et de la Création, Michel Orier, avec les personnes en charge de ces missions à Radio France.
Pour Sibyle Veil, Présidente-Directrice générale de Radio France : "Commander aux compositeurs et compositrices des œuvres qui feront le patrimoine musical de demain, c’est l’une des preuves concrètes de notre engagement pour la musique et la création, d’autant plus essentiel dans la période que nous vivons". Pour Michel Orier, directeur de la Musique et de la Création à Radio France : "Il faut savoir garder des intuitions d’éclaireur, une liberté de mouvement. À défaut, les enjeux qui sont posés, l’évolution des pratiques, du métier de compositeur, de l’écoute, l’utilité même de nos actes ne sauraient résister à l’épreuve du temps".