Dans un environnement toujours plus fragmenté, la RTS souhaite "proposer davantage de diversité dans ses offres et ses modes de production de manière à toucher l’ensemble de la population, selon les exigences de son mandat de service public".
En 2021, les radiso de la RTS ont touché en moyenne 732 000 personnes, soit 42.4% de la population en 2021 contre 45.2% en 2020. Les parts de marché cumulées de RTS-La Première, Espace 2, Couleur 3 et Option Musique obtiennent ensemble 49.1% contre 50.9% en 2020. Cela dit, RTS-La Première reste numéro un en Suisse romande.
Le public plébiscite également les contenus RTS sur les réseaux sociaux avec plus de 6 millions d’abonnements toutes plateformes confondues et un nombre de vues quotidiennes de 1 140 000, une progression de 6.8% depuis 2020, année déjà exceptionnelle.
En 2021, les radiso de la RTS ont touché en moyenne 732 000 personnes, soit 42.4% de la population en 2021 contre 45.2% en 2020. Les parts de marché cumulées de RTS-La Première, Espace 2, Couleur 3 et Option Musique obtiennent ensemble 49.1% contre 50.9% en 2020. Cela dit, RTS-La Première reste numéro un en Suisse romande.
Le public plébiscite également les contenus RTS sur les réseaux sociaux avec plus de 6 millions d’abonnements toutes plateformes confondues et un nombre de vues quotidiennes de 1 140 000, une progression de 6.8% depuis 2020, année déjà exceptionnelle.
Baisse des audiences des médias linéaires
Conséquence des nouveaux usages médiatiques, le temps que la population consacre quotidiennement à la TV et à la radio en linéaire diminue chaque année au profit d’une multitude de nouveaux acteurs, principalement sur les réseaux sociaux. Les chaînes TV de la RTS ont touché chaque semaine en moyenne 58% de la population romande, contre 60.2% en 2020.
"Nos chaînes TV et radio résistent dans l’ensemble bien à la baisse globale de consommation qui touche les médias linéaires au profit du numérique et en particulier des réseaux sociaux", constate Thierry Zweifel, chef du département Stratégie et Programmation. "Quant à nos bonnes audiences digitales, elles confirment la nécessité de placer le numérique au cœur de notre stratégie afin de toucher un public plus large, tout en maintenant les bonnes performances de nos antennes radio et TV".
"Nos chaînes TV et radio résistent dans l’ensemble bien à la baisse globale de consommation qui touche les médias linéaires au profit du numérique et en particulier des réseaux sociaux", constate Thierry Zweifel, chef du département Stratégie et Programmation. "Quant à nos bonnes audiences digitales, elles confirment la nécessité de placer le numérique au cœur de notre stratégie afin de toucher un public plus large, tout en maintenant les bonnes performances de nos antennes radio et TV".