En juin 2006, Marion Larat, jeune fille vive et brillante, s’effondre chez ses parents, victime d’un AVC massif dont elle réchappe. S'ensuivent neuf opérations et des mois de rééducation pour récupérer la marche et l’usage de la parole.
Elle apprend à vivre avec son handicap, mais ne peut reprendre une scolarité normale ; dès lors, s’engage une lutte pour s’insérer dans le monde du travail.
Marion Larat a reçu ce vendredi 7 mars son prix des mains de Christopher Baldelli, Président du Directoire RTL et de Jean-Paul Lubot, directeur général délégué du groupe Marie-Claire. Marion Larat remporte 26 % des voix, devant Dunya Bouhacene (13 %) et Isabelle Maurer, à égalité de voix avec Latifa Ibn Ziaten (11,5 %).
Elle apprend à vivre avec son handicap, mais ne peut reprendre une scolarité normale ; dès lors, s’engage une lutte pour s’insérer dans le monde du travail.
Marion Larat a reçu ce vendredi 7 mars son prix des mains de Christopher Baldelli, Président du Directoire RTL et de Jean-Paul Lubot, directeur général délégué du groupe Marie-Claire. Marion Larat remporte 26 % des voix, devant Dunya Bouhacene (13 %) et Isabelle Maurer, à égalité de voix avec Latifa Ibn Ziaten (11,5 %).
"La pilule est amère"
Quatre ans plus tard, elle découvre que la pilule Meliane, un contraceptif de 3ème génération est responsable de son AVC. Décidée à lancer l’alerte, elle dépose plainte contre le laboratoire Bayer et l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour atteinte involontaire à l’intégrité de la personne humaine. Immédiatement, les témoignages et les accusations affluent, incitant la ministre de la Santé à prendre des décisions. Sans elle, les pilules de dernières générations, bien plus dangereuses que leurs aînées, seraient encore prescrites.
Elle a choisi de médiatiser son calvaire devenu combat, notamment dans un livre "La pilule est amère" paru aux éditions Stock.
Elle a choisi de médiatiser son calvaire devenu combat, notamment dans un livre "La pilule est amère" paru aux éditions Stock.