Dans long entretien accordé au quotidien Les Echos, Olivier Schrameck a aussi évoqué l’avenir de la RNT en France. Selon lui : "lorsqu'un progrès technique de cette nature apparaît, on ne doit pas lui tourner le dos. En revanche, je mesure l'ampleur des difficultés. Nous ne sommes pas seuls à décider, nous sommes attentifs à l'attitude de la radio publique. Mais si nous avons à faire des choix, ils doivent être directement appropriés aux besoins".
Olivier Schrameck explique qu’il voit "moins l'intérêt à introduire la radio numérique à Paris qu'à ouvrir des possibilités nouvelles dans les zones industrielles ou rurales, les moins bien desservies. Nous n'allons pas interrompre le processus à Paris, Marseille et Nice car des engagements ont été pris. En revanche, je proposerai au Collège de débattre du calendrier des appels à candidatures pour les zones à venir".
Olivier Schrameck explique qu’il voit "moins l'intérêt à introduire la radio numérique à Paris qu'à ouvrir des possibilités nouvelles dans les zones industrielles ou rurales, les moins bien desservies. Nous n'allons pas interrompre le processus à Paris, Marseille et Nice car des engagements ont été pris. En revanche, je proposerai au Collège de débattre du calendrier des appels à candidatures pour les zones à venir".
Le Président Schrameck annonce avoir mis en place "un groupe de travail interne commun pour la radio analogique et la radio numérique car selon lui on ne peut pas penser l'une sans l'autre. Le numérique doit être un complément de l'analogique, en se gardant de ne raisonner qu'en termes de concurrence".
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