"Face au désengagement de l'Etat, à l'étranglement budgétaire actuel, aux projets de restructurations de la Direction de Radio France, qui portent atteinte aux emplois, aux métiers, aux contenus, à l'organisation du travail, les salariés manifestent leur refus de la démolition programmée de Radio France et de ses missions de service public.
Des organisations qui refusent "les hypothèses d'économie budgétaire par la réduction de la masse salariale et ses conséquences sur l'emploi. Dans le même temps, des moyens considérables sont consacrés sans contrôle aucun au chantier de réhabilitation".
Des organisations qui refusent "les hypothèses d'économie budgétaire par la réduction de la masse salariale et ses conséquences sur l'emploi. Dans le même temps, des moyens considérables sont consacrés sans contrôle aucun au chantier de réhabilitation".
Des salariés de Radio France qui exigent notamment "l'arrêt des externalisations des activités de la direction de l'établissement, l'abandon des méthodes brutales de cette direction et le retour à des conditions de travail dignes pour ses salariés". Ils exigent également "le maintien des effectifs et le retour à l'intégralité des programmes locaux dans le réseau France Bleu".
Cette fois-ci, ce n'est pas un mais quatre préavis de grève (à partir de ce 19 mars à 0h00 et pour une durée indéterminée) qui ont ainsi été déposés : le préavis "Externalisation" (ICI), le préavis "Formations musicales" (ICI), le préavis "Modes de production" (ICI) et le préavis "Réseau France Bleu" (ICI).
Cette fois-ci, ce n'est pas un mais quatre préavis de grève (à partir de ce 19 mars à 0h00 et pour une durée indéterminée) qui ont ainsi été déposés : le préavis "Externalisation" (ICI), le préavis "Formations musicales" (ICI), le préavis "Modes de production" (ICI) et le préavis "Réseau France Bleu" (ICI).