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Le 11 décembre dernier, le CSA a pris la décision de revoir le mode de calcul du plafond de concentration en radio. Cette délibération a pour conséquence "de casser le plafond de concentration pourtant prévu par la loi" indiquent les radios indépendantes.
Hier matin, Bruno Le Roux a pris position sur le sujet en répondant à Philippe Gault, président du SIRTI. Le président du groupe PS à l’Assemblée Nationale indique que, selon lui, les prérogatives du Parlement ont été empiétées par le CSA et qu’en tout état de cause, tout ce qui relève des plafonds de concentration doit passer par la loi : "je pense que sur cette question des plafonds de concentration, c’est à la loi de faire les choses.
Je le dis et j’ai du mal à comprendre la décision du 11 décembre dernier du CSA et c’est vrai qu’on peut chercher à jouer, mais enfin si la loi fixe les seuils de plafond de concentration, c’est bien aussi que si on modifie les modes de calculs, on arrive à bouger les seuils. Je crois qu’il ne faut pas finasser. Tout ce qui relève des plafonds de concentration dans l’analyse qui est la mienne doit passer par la loi".
Hier matin, Bruno Le Roux a pris position sur le sujet en répondant à Philippe Gault, président du SIRTI. Le président du groupe PS à l’Assemblée Nationale indique que, selon lui, les prérogatives du Parlement ont été empiétées par le CSA et qu’en tout état de cause, tout ce qui relève des plafonds de concentration doit passer par la loi : "je pense que sur cette question des plafonds de concentration, c’est à la loi de faire les choses.
Je le dis et j’ai du mal à comprendre la décision du 11 décembre dernier du CSA et c’est vrai qu’on peut chercher à jouer, mais enfin si la loi fixe les seuils de plafond de concentration, c’est bien aussi que si on modifie les modes de calculs, on arrive à bouger les seuils. Je crois qu’il ne faut pas finasser. Tout ce qui relève des plafonds de concentration dans l’analyse qui est la mienne doit passer par la loi".