Vous aimerez aussi
-
Le MAG 166 - Derrière la fréquence met les radios locales au premier plan
-
SUN, première radio associative des Pays de la Loire, lance un appel à soutien
-
"Public des Associatives 2025" : une mesure d’audience dédiée aux radios de catégorie A
-
Les radios associatives rejoignent Radioplayer France
-
Sylvain Delfau élu président du Syndicat National des Radios Libres
"Cette coupe budgétaire drastique, qui menace directement l’existence de 70 à 80 % des radios associatives, aura de graves conséquences : la réduction des programmes originaux, l’appauvrissement de l’offre radiophonique locale, ainsi que la disparition de nombreux emplois" indique la Scam.
"Alors que ces radios jouent un rôle clé dans la vie démocratique et culturelle des territoires en donnant la parole à ceux qui en sont souvent privés, en assurant la diffusion de créations originales et d’expressions citoyennes, en étant largement impliquées dans l’éducation aux médias et dans l’accompagnement des établissements scolaires qui développent des webradios, il est incompréhensible que ce secteur soit la cible de telles mesures".
"Alors que ces radios jouent un rôle clé dans la vie démocratique et culturelle des territoires en donnant la parole à ceux qui en sont souvent privés, en assurant la diffusion de créations originales et d’expressions citoyennes, en étant largement impliquées dans l’éducation aux médias et dans l’accompagnement des établissements scolaires qui développent des webradios, il est incompréhensible que ce secteur soit la cible de telles mesures".
La Scam soutient donc pleinement les demandes du Syndicat National des Radios Libres (SNRL) et de la Confédération Nationale des Radios Associatives (CNRA) pour le retrait de cette mesure et pour le renforcement du FSER. Elle appelle également les pouvoirs publics à réexaminer leur position.
"La diversité culturelle et la liberté de création ne peuvent être sacrifiées au nom d’économies budgétaires" précise un communiqué.
"La diversité culturelle et la liberté de création ne peuvent être sacrifiées au nom d’économies budgétaires" précise un communiqué.