"On a doublé l'audience de la radio. En 2007, on devait avoir entre 250 000 et 300 000 auditeurs quotidiens et on en a 600 000 aujourd'hui. Avec un réseau de 26 fréquences et avec quelques "petits trous" comme Toulouse, Rennes, Lille, Lyon Grenoble, Strasbourg..." explique Bruno Delport.
Et la RNT ? "Les grands groupes, légèrement aidés par le Service Public, ont réussi à mettre suffisamment de clous sur le cercueil (...) C'est pas encore perdu. On continue de se battre car ça nous semble être la seule hypothèse sérieuse de rééquilibrage d'un paysage sclérosé (...) Aujourd'hui, on est dans un paysage contrôlé à 85 % par 4 opérateurs plus le Service Public et ces 4 là, ils ont aucune envie de voir des nouveaux concurrents arrivés sur leur marché. Donc, ils préfèrent se partager un gâteau qui bouge pas parce que c'est sécurisant".
Et puis Bruno Delport a évoqué le dévenir de capital de Nova : "l'indépendance coûte très cher" a-t-il souligné.
La suite ICI ou en cliquant sur le player ci-dessous.
Et la RNT ? "Les grands groupes, légèrement aidés par le Service Public, ont réussi à mettre suffisamment de clous sur le cercueil (...) C'est pas encore perdu. On continue de se battre car ça nous semble être la seule hypothèse sérieuse de rééquilibrage d'un paysage sclérosé (...) Aujourd'hui, on est dans un paysage contrôlé à 85 % par 4 opérateurs plus le Service Public et ces 4 là, ils ont aucune envie de voir des nouveaux concurrents arrivés sur leur marché. Donc, ils préfèrent se partager un gâteau qui bouge pas parce que c'est sécurisant".
Et puis Bruno Delport a évoqué le dévenir de capital de Nova : "l'indépendance coûte très cher" a-t-il souligné.
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