Le siège de Netia dans le sud de la France
LLPR - Vous venez d'acquérir un concurrent. Quelle a été votre première réaction quand la proposition s'est présentée ?
VB - Que l’histoire se répète... La situation est comparable au R.E.S. que nous avons fait en 2009 pour DAVID Systems. Aussi, grâce au travail et à l’expérience, on se créé des opportunités toujours plus passionnantes.
LLPR - Les deux marques vont donc coexister, quelles sortes de synergies internes allez-vous impulser dans les deux structures ?
VB - Plus que les marques, ce sont les entreprises qui vont perdurer chacune sur leurs bases. Côté synergies, rien ne presse et on débutera par un partage de valeurs et de méthodes.
VB - Que l’histoire se répète... La situation est comparable au R.E.S. que nous avons fait en 2009 pour DAVID Systems. Aussi, grâce au travail et à l’expérience, on se créé des opportunités toujours plus passionnantes.
LLPR - Les deux marques vont donc coexister, quelles sortes de synergies internes allez-vous impulser dans les deux structures ?
VB - Plus que les marques, ce sont les entreprises qui vont perdurer chacune sur leurs bases. Côté synergies, rien ne presse et on débutera par un partage de valeurs et de méthodes.
LLPR - Pourquoi Radio Act a-t-elle été créée ?
VB - Justement, parce que l’on a envie que le monde de la radio travaille davantage en synergies et on y contribue avec la conviction que l’opportunité de la transformation numérique, qui est massif pour la radio, passe par une relation forte entre des décideurs côté opérateur et des unités industrielles agiles et dédiés au succès de l’écosystème.
LLPR - Sur le marché, comment allez-vous positionner les deux structures ?
VB - Il s’agit d’abord que les deux entreprises soient à l’aise et concentrées sur leur marché. On y travaille tous les jours et au vu des résultats de DAVID Systems, on est très optimistes.
LLPR - Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre associé Anthony Savelli ?
VB - Nous commençons à faire un peu vieux couple, car cela fait 15 ans que nous travaillons ensemble peu ou prou. Il est associé aussi avec moi sur DAVID Systems. Il a davantage d’expérience dans les médias (e.g. Avid, Media 100) que moi et c’est surtout un gestionnaire avisé.
LLPR - Si nous devions nous projeter dans 10 ans, quel serait le scénario idéal pour ces deux entités ?
VB - Il nous faut d’abord nous assurer que notre approche collaborative avec le marché trouve un écho favorable. Si c’est le cas, on peut penser que cela devienne une tendance dans l’IT des médias et que ces entités seront reconnues comme pionnières.
VB - Justement, parce que l’on a envie que le monde de la radio travaille davantage en synergies et on y contribue avec la conviction que l’opportunité de la transformation numérique, qui est massif pour la radio, passe par une relation forte entre des décideurs côté opérateur et des unités industrielles agiles et dédiés au succès de l’écosystème.
LLPR - Sur le marché, comment allez-vous positionner les deux structures ?
VB - Il s’agit d’abord que les deux entreprises soient à l’aise et concentrées sur leur marché. On y travaille tous les jours et au vu des résultats de DAVID Systems, on est très optimistes.
LLPR - Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur votre associé Anthony Savelli ?
VB - Nous commençons à faire un peu vieux couple, car cela fait 15 ans que nous travaillons ensemble peu ou prou. Il est associé aussi avec moi sur DAVID Systems. Il a davantage d’expérience dans les médias (e.g. Avid, Media 100) que moi et c’est surtout un gestionnaire avisé.
LLPR - Si nous devions nous projeter dans 10 ans, quel serait le scénario idéal pour ces deux entités ?
VB - Il nous faut d’abord nous assurer que notre approche collaborative avec le marché trouve un écho favorable. Si c’est le cas, on peut penser que cela devienne une tendance dans l’IT des médias et que ces entités seront reconnues comme pionnières.