LLP - Comment expliquer ces résultats après une hausse constante depuis plusieurs mois ?
MS - Nous n’avons pas été surpris. Nous nous y attendions. Nous analysons les Intermédiaires tous les 15 jours. Ce dont nous n’avions pas connaissance c’étaient les audiences des autres Musicales.
Pour répondre à ta question, je dirai que d’avril à août derniers, NRJ n’a jamais été aussi forte de toute son histoire. Et là, brutalement, nous avons ces résultats pour cette rentrée. Sur 17 vagues, NRJ en a signé 16 à la hausse. Tout cela ne s’explique pas. d’autant que je constate que toutes autres radios ont leur audience en baisse. Ce qui est certain, c’est que nous avons dû faire face à une fuite des 13 - 24 ans.
GS - L’essentiel c’est que NRJ reste numéro 1 et c’est encore le cas sur cette vague.
MS - Je n’’ai pas d’explications rationnelles. N’oublions pas qu’il y a 8 semaines nous performions. Et là, cette baisse est brutale…
GS - Un décrochage comme celui-ci s’était déjà produit pour la rentrée de septembre 2009. Là, l’effet est global. Il est statistique donc, il ne nous inquiète pas plus que ça…
MS - Nous n’avons pas été surpris. Nous nous y attendions. Nous analysons les Intermédiaires tous les 15 jours. Ce dont nous n’avions pas connaissance c’étaient les audiences des autres Musicales.
Pour répondre à ta question, je dirai que d’avril à août derniers, NRJ n’a jamais été aussi forte de toute son histoire. Et là, brutalement, nous avons ces résultats pour cette rentrée. Sur 17 vagues, NRJ en a signé 16 à la hausse. Tout cela ne s’explique pas. d’autant que je constate que toutes autres radios ont leur audience en baisse. Ce qui est certain, c’est que nous avons dû faire face à une fuite des 13 - 24 ans.
GS - L’essentiel c’est que NRJ reste numéro 1 et c’est encore le cas sur cette vague.
MS - Je n’’ai pas d’explications rationnelles. N’oublions pas qu’il y a 8 semaines nous performions. Et là, cette baisse est brutale…
GS - Un décrochage comme celui-ci s’était déjà produit pour la rentrée de septembre 2009. Là, l’effet est global. Il est statistique donc, il ne nous inquiète pas plus que ça…
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LLP - Où perdez-vous des auditeurs ?
MS - Nous perdons 0.8. Nous sommes touchés principalement le soir sur la tranche des 13-24 ans.
LLP - Des adaptations du programme vont-elles être mises en place ?
MS - Non. Bien sûr que non. On ne touche à rien. Ce serait en contradiction avec ce que je viens de dire.
GS - Nous sommes dans le Fine Tuning. Il n’y aura pas de bouleversement. Nous ajustons tous les jours en conséquence.
MS - Oui. Nous croyons au Morning, aux rendez-vous du soir et à la musique. Car si la musique ne fonctionne pas ici, alors elle ne fonctionnera nulle par ailleurs.
LLP - Diriez-vous que cette vague de rentrée n’est pas une bonne vague pour les Musicales comme pour les Généralistes ?
MS - Elle n’est pas bonne pour la radio en général. Maintenant, il faut attendre la prochaine. Ce n’est pas un mouvement de profondeur. Cet été, on a beaucoup parlé de la radio et du mercato avec Ruquier et Hanouna… Cela aurait dû promouvoir la radio… Et là, non. Le média n’en a pas profité.
LLP - Les NMA auront lieu le 13 décembre sur TF1. C’est une formidable visibilité supplémentaire offerte à la marque NRJ ?
MS - C’est une grande fête qui offre en effet une belle visibilité. Nous n’avons d’ailleurs jamais mesuré son impact. Les NRJ Music Awards sont bons pour la marque en général. Pour l’audience, c’est autre chose.
LLP - Dernièrement, Contact FM a dû annuler un Concert Privé parce qu’un des artistes s’est désisté au dernier moment. NRJ fait-elle pression sur les artistes pour qu’ils n’aillent pas dans les radios régionales ?
GS - Nous n’avons pas grand chose à dire. Les maisons de disques prennent leur décision en leur âme et conscience. Des manifestations comme celle-ci, il y en a partout, toutes les semaines. Cette annulation est un non-événement.
MS - Et nous… Si nous devions faire les pleureuses à chaque fois que l’on plagie NRJ…
MS - Nous perdons 0.8. Nous sommes touchés principalement le soir sur la tranche des 13-24 ans.
LLP - Des adaptations du programme vont-elles être mises en place ?
MS - Non. Bien sûr que non. On ne touche à rien. Ce serait en contradiction avec ce que je viens de dire.
GS - Nous sommes dans le Fine Tuning. Il n’y aura pas de bouleversement. Nous ajustons tous les jours en conséquence.
MS - Oui. Nous croyons au Morning, aux rendez-vous du soir et à la musique. Car si la musique ne fonctionne pas ici, alors elle ne fonctionnera nulle par ailleurs.
LLP - Diriez-vous que cette vague de rentrée n’est pas une bonne vague pour les Musicales comme pour les Généralistes ?
MS - Elle n’est pas bonne pour la radio en général. Maintenant, il faut attendre la prochaine. Ce n’est pas un mouvement de profondeur. Cet été, on a beaucoup parlé de la radio et du mercato avec Ruquier et Hanouna… Cela aurait dû promouvoir la radio… Et là, non. Le média n’en a pas profité.
LLP - Les NMA auront lieu le 13 décembre sur TF1. C’est une formidable visibilité supplémentaire offerte à la marque NRJ ?
MS - C’est une grande fête qui offre en effet une belle visibilité. Nous n’avons d’ailleurs jamais mesuré son impact. Les NRJ Music Awards sont bons pour la marque en général. Pour l’audience, c’est autre chose.
LLP - Dernièrement, Contact FM a dû annuler un Concert Privé parce qu’un des artistes s’est désisté au dernier moment. NRJ fait-elle pression sur les artistes pour qu’ils n’aillent pas dans les radios régionales ?
GS - Nous n’avons pas grand chose à dire. Les maisons de disques prennent leur décision en leur âme et conscience. Des manifestations comme celle-ci, il y en a partout, toutes les semaines. Cette annulation est un non-événement.
MS - Et nous… Si nous devions faire les pleureuses à chaque fois que l’on plagie NRJ…