LLP - Quel est votre parcours ?
YC - Avant tout, c’est un parcours artistique. J’ai été aussi professeur de physique… Mais artiste depuis… toujours. Je suis trompettiste, pianiste et chanteur. J’ai signé trois albums. J’ai fait 150 concerts sur ma dernière tournée francophone et plus récemment avec mes potes de Zebda et Art Mengo, une tournée à travers la France sur le projet Toulouse Con Tour. La radio est arrivée dans ma vie en 2001. J’ai découvert, petit à petit, ce monde sur Sud Radio en recevant des artistes jusqu’en 2007. Disons que je ne fais de la radio parce que j’y parle de musique, mon métier et donc l'univers que je connais.
LLP - Pourquoi êtes-vous revenu sur Sud Radio ?
YC - Parce que j’ai beaucoup aimé le discours de Didier Maïsto, le Président. Le fait qu'il ait une excellente connaissance de la musique, m’a beaucoup parlé. Tant sur le fond que sur la forme, j’ai tout de suite adhéré à ce contenu intelligent qu’il propose : miser sur le qualitatif tout en ayant le soucis du "populaire". Ma vision de la radio, et de la musique, est la même que la sienne.
YC - Avant tout, c’est un parcours artistique. J’ai été aussi professeur de physique… Mais artiste depuis… toujours. Je suis trompettiste, pianiste et chanteur. J’ai signé trois albums. J’ai fait 150 concerts sur ma dernière tournée francophone et plus récemment avec mes potes de Zebda et Art Mengo, une tournée à travers la France sur le projet Toulouse Con Tour. La radio est arrivée dans ma vie en 2001. J’ai découvert, petit à petit, ce monde sur Sud Radio en recevant des artistes jusqu’en 2007. Disons que je ne fais de la radio parce que j’y parle de musique, mon métier et donc l'univers que je connais.
LLP - Pourquoi êtes-vous revenu sur Sud Radio ?
YC - Parce que j’ai beaucoup aimé le discours de Didier Maïsto, le Président. Le fait qu'il ait une excellente connaissance de la musique, m’a beaucoup parlé. Tant sur le fond que sur la forme, j’ai tout de suite adhéré à ce contenu intelligent qu’il propose : miser sur le qualitatif tout en ayant le soucis du "populaire". Ma vision de la radio, et de la musique, est la même que la sienne.
LLP - Qu’allez-vous animer à partir de ce soir ?
YC - Tous les soirs de 20h à 21h, un rendez-vous en tête à tête avec des artistes très identifiés : Julien Clerc, Michel Fugain, Pascal Légétimus, Alain Souchon et Laurent Voulzy, Sanseveriono, Amandine Bourgeois, Mauranne, I Muvrini, Zaz… Le même invité sur deux émissions.
Nous entendrons les chansons qui ont accompagné leur vie, leurs propres créations pour une une balade musicale à travers leur histoire personnelle.
LLP - Vous dites : "je suis un artiste qui fait de la radio, pas un animateur qui fait l’artiste". Quel est votre style ?
YC - Je ne suis pas animateur. Mon truc à moi à la radio, c'est de faire parler mes invités à travers le prisme de la musique avec une certaine crédibilité due à mon profil d'artiste, installant ainsi un ton différent. Voilà ma singularité et la plus-value que je pense apporter à Sud Radio.
YC - Tous les soirs de 20h à 21h, un rendez-vous en tête à tête avec des artistes très identifiés : Julien Clerc, Michel Fugain, Pascal Légétimus, Alain Souchon et Laurent Voulzy, Sanseveriono, Amandine Bourgeois, Mauranne, I Muvrini, Zaz… Le même invité sur deux émissions.
Nous entendrons les chansons qui ont accompagné leur vie, leurs propres créations pour une une balade musicale à travers leur histoire personnelle.
LLP - Vous dites : "je suis un artiste qui fait de la radio, pas un animateur qui fait l’artiste". Quel est votre style ?
YC - Je ne suis pas animateur. Mon truc à moi à la radio, c'est de faire parler mes invités à travers le prisme de la musique avec une certaine crédibilité due à mon profil d'artiste, installant ainsi un ton différent. Voilà ma singularité et la plus-value que je pense apporter à Sud Radio.
LLP - Avez-vous des objectifs d’audience ?
YC - Non. Nous installons d’abord une émission et nous allons la faire évoluer sur le long terme. Nous voulons en faire un rendez-vous incontournable tant pour Sud Radio que pour les artistes identifiés mais aussi les nouveaux talents. A terme, l'émission deviendra un rendez-vous de live, de convivialité, d'échanges et de discussions avec des Artistes très connus et des nouveaux talents. Loft Music n'a qu'un seul objectif : la qualité, même si l’audience est fondamentale, bien sûr. Nous pouvons mener les deux de front. Nous voulons proposer un contenu grand public, populaire et accessible.
LLP - Vous avez le tract ?
YC - Je suis très excité à l’idée de (re)collaborer avec Sud Radio car j’ai un lien affectif très fort avec cette station et j'ai rencontré une équipe dirigeante charmante qui m'a bien accueilli et m'a donné envie de m'investir. Et puis, j'ai retrouvé quelques amis. C’est plus de l'émotion, que de la pression. Je n’ai pas le tract. J’ai seulement un fort désir de développer cette émission en donnant du plaisir aux auditeurs et auditrices au service de Sud Radio.
YC - Non. Nous installons d’abord une émission et nous allons la faire évoluer sur le long terme. Nous voulons en faire un rendez-vous incontournable tant pour Sud Radio que pour les artistes identifiés mais aussi les nouveaux talents. A terme, l'émission deviendra un rendez-vous de live, de convivialité, d'échanges et de discussions avec des Artistes très connus et des nouveaux talents. Loft Music n'a qu'un seul objectif : la qualité, même si l’audience est fondamentale, bien sûr. Nous pouvons mener les deux de front. Nous voulons proposer un contenu grand public, populaire et accessible.
LLP - Vous avez le tract ?
YC - Je suis très excité à l’idée de (re)collaborer avec Sud Radio car j’ai un lien affectif très fort avec cette station et j'ai rencontré une équipe dirigeante charmante qui m'a bien accueilli et m'a donné envie de m'investir. Et puis, j'ai retrouvé quelques amis. C’est plus de l'émotion, que de la pression. Je n’ai pas le tract. J’ai seulement un fort désir de développer cette émission en donnant du plaisir aux auditeurs et auditrices au service de Sud Radio.