La radio au Royaume-Uni représente 16% de la consommation médias, mais seulement 4% des revenus publicitaires. Mark Barber croit que cela est motivé par la perception, plutôt que par la raison, et pourrait expliquer pourquoi les agences ne placent pas beaucoup d’argent dans la publicité radiophonique. La recherche a montré que les attributs les plus importants d’une publicité, sont que la publicité atteigne le public au bon moment et au bon endroit, et qu’elle déclenche des réactions émotionnelles. Ce que la radio sait très bien accomplir. Pourtant ces qualités ne sont pas perçues par les annonceurs qui investissent plus sur des supports moins performants.
La radio, le deuxième média le plus efficace derrière la TV reçoit le deuxième plus bas niveau d’investissement. Pour améliorer cela, Mark Barber a exhorté les annonceurs et les agences à réévaluer leur combinaison de médias en gardant à l’esprit les données probantes, et à reconnaître que le ciblage conventionnel est toujours efficace.
La radio, le deuxième média le plus efficace derrière la TV reçoit le deuxième plus bas niveau d’investissement. Pour améliorer cela, Mark Barber a exhorté les annonceurs et les agences à réévaluer leur combinaison de médias en gardant à l’esprit les données probantes, et à reconnaître que le ciblage conventionnel est toujours efficace.
Malgré cela, le marché publicitaire radio progresse au Royaume-Uni. Parce que les anglais se posent ce genre de question : 'Comment stimuler les 57% d’annonceurs locaux qui n’ont encore jamais fait de publicité radio ?'. Et les réponses des acteurs de l’industrie britannique sont efficaces : actions communes à tous les concurrents comme la création du Radioplayer, des campagnes de promotion du média, de nombreuses études sur l’efficacité de la radio, et même un événement qui regroupe, du 14 au 19 mai, pour la première fois tous les opérateurs de l’audio en ligne et de la radio réunis lors de l’Audio Week.