La fusion de nos deux radios met en relief deux cultures différentes : à Grenoble, Radio SKI dispose d'une cabine de réalisation où se trouve l'essentiel du matériel… Un réalisateur/DJ se charge de coordonner l'émission, la pub, la programmation musicale, les inserts téléphoniques, etc. Côté studio, le journaliste et ses invités n'ont que des micros et quelques écrans pour accéder à internet. À Biarritz, Radio PLAGE revendique son héritage webradio, où l'autoréalisation des émissions était systématique.
La fusion de nos deux radios met en relief deux cultures différentes : à Grenoble, Radio SKI dispose d'une cabine de réalisation où se trouve l'essentiel du matériel… Un réalisateur/DJ se charge de coordonner l'émission, la pub, la programmation musicale, les inserts téléphoniques, etc. Côté studio, le journaliste et ses invités n'ont que des micros et quelques écrans pour accéder à internet. À Biarritz, Radio PLAGE revendique son héritage webradio, où l'autoréalisation des émissions était systématique.
L'audio sur IP permet d'accorder ces deux univers et d'apporter une flexibilité totale en studio : Radio PLAGE se pliera bel et bien au cahier des charges de Saison'AIR, par la construction d'une cabine de réalisation "traditionnelle", dans laquelle sera placée la grande table de mixage. Les émissions matinales utiliseront ce mode de fonctionnement (réalisateur + animateur et son plateau d'invités), comme c'est le cas dans la majorité des stations de radio…
Néanmoins, des écrans tactiles personnalisables seront mis à disposition des animateurs, leur permettant de contrôler l'ensemble des outils d'antenne, et de prendre la main sur toute la chaîne de diffusion. Une sorte de régie sur mesure, légère à déployer, et pilotée du bout des doigts.
Les constructeurs de matériel AoIP (Axia, DHD, Studer, Wheatstone, etc.) mettent à disposition des intégrateurs les outils de développement permettant de dialoguer avec le matériel connecté au réseau. Si le projet est bien coordonné, et architecturé autour d'un logiciel d'automation souple et évolutif, une radio peut regrouper des fonctionnalités "logiques" (conducteur de l'émission, programmation musicale, etc.) et "physiques" (faders audio, inserts téléphoniques, surveillance des émetteurs) dans une seule et même interface, qui s'exécutera sur une tablette tactile ou même, l'ordinateur portable de l'animateur.
Dans la même veine, les périphériques du bâtiment seront pilotés par une centrale GPIO qui obéira à des séquences programmables à volonté. Rouge porte et coupure automatique de la clim à l'ouverture du micro, routage des intercoms selon l'occupation des locaux, sonneries ou flashs du téléphone… tous les cœurs de réseau audio sur IP permettent aujourd'hui de créer de complexes lois domotiques, dont les usages peuvent atteindre des extrêmes n'ayant comme seule limite que l'ambition des directions techniques, et le sommeil des intégrateurs.
La console se passera de modules physiques trop coûteux et exotiques. Si une table de mixage à 6 tranches suffit aux besoins quotidiens de l'antenne, on peut envisager d'ajouter 8 tranches virtuelles sur un écran tactile pour répondre aux besoins événementiels. Sur le budget de rééquipement complet d'un studio, l'économie est colossale.
L'audio sur IP permet d'accorder ces deux univers et d'apporter une flexibilité totale en studio : Radio PLAGE se pliera bel et bien au cahier des charges de Saison'AIR, par la construction d'une cabine de réalisation "traditionnelle", dans laquelle sera placée la grande table de mixage. Les émissions matinales utiliseront ce mode de fonctionnement (réalisateur + animateur et son plateau d'invités), comme c'est le cas dans la majorité des stations de radio…
Néanmoins, des écrans tactiles personnalisables seront mis à disposition des animateurs, leur permettant de contrôler l'ensemble des outils d'antenne, et de prendre la main sur toute la chaîne de diffusion. Une sorte de régie sur mesure, légère à déployer, et pilotée du bout des doigts.
Les constructeurs de matériel AoIP (Axia, DHD, Studer, Wheatstone, etc.) mettent à disposition des intégrateurs les outils de développement permettant de dialoguer avec le matériel connecté au réseau. Si le projet est bien coordonné, et architecturé autour d'un logiciel d'automation souple et évolutif, une radio peut regrouper des fonctionnalités "logiques" (conducteur de l'émission, programmation musicale, etc.) et "physiques" (faders audio, inserts téléphoniques, surveillance des émetteurs) dans une seule et même interface, qui s'exécutera sur une tablette tactile ou même, l'ordinateur portable de l'animateur.
Dans la même veine, les périphériques du bâtiment seront pilotés par une centrale GPIO qui obéira à des séquences programmables à volonté. Rouge porte et coupure automatique de la clim à l'ouverture du micro, routage des intercoms selon l'occupation des locaux, sonneries ou flashs du téléphone… tous les cœurs de réseau audio sur IP permettent aujourd'hui de créer de complexes lois domotiques, dont les usages peuvent atteindre des extrêmes n'ayant comme seule limite que l'ambition des directions techniques, et le sommeil des intégrateurs.
La console se passera de modules physiques trop coûteux et exotiques. Si une table de mixage à 6 tranches suffit aux besoins quotidiens de l'antenne, on peut envisager d'ajouter 8 tranches virtuelles sur un écran tactile pour répondre aux besoins événementiels. Sur le budget de rééquipement complet d'un studio, l'économie est colossale.