Représenté par son président Emmanuel Boutterin, par Pierre Boucard délégué national à la gestion du spectre, et par son délégué général Pierre Montel, le SNRL a réaffirmé récemment sa volonté de préserver les principes et dispositifs énoncés aux articles 29 et 80 de la Loi de 1986 relative à la Liberté de communication, dans les débats à venir sur l'attribution de la ressource hertzienne, le pluralisme et la Grande Loi Audiovisuel prévue pour 2014.
Cette rencontre avec Olivier Schrameck aux côtés de Jean-Baptiste Gourdin son directeur de Cabinet aura donc permis de d’aborder des thématiques chères au SNRL : la situation du paysage radiophonique en France, les modèles économiques des différents types d'éditeurs, la place de la radiodiffusion de l'économie sociale dans les futurs dispositifs législatifs, la défense de la place des radios associatives et l'allocation de fréquences en Bande II, la situation sur la Bande III et la Radio Numérique Terrestre.
Cette rencontre avec Olivier Schrameck aux côtés de Jean-Baptiste Gourdin son directeur de Cabinet aura donc permis de d’aborder des thématiques chères au SNRL : la situation du paysage radiophonique en France, les modèles économiques des différents types d'éditeurs, la place de la radiodiffusion de l'économie sociale dans les futurs dispositifs législatifs, la défense de la place des radios associatives et l'allocation de fréquences en Bande II, la situation sur la Bande III et la Radio Numérique Terrestre.
Pluralisme et diversifié
Selon le syndicat, "Olivier Schrameck a clairement réaffirmé son attachement à un paysage radiophonique pluraliste et diversifié, soulignant une attention particulière consacrée au pluralisme et à la diversité que représentent les 650 éditeurs associatifs sur les territoires métropolitain et d'outre-mer".
Ce fut aussi l'occasion pour le SNRL de se féliciter de la moyenne nationale de "21 % de fréquences attribuées en Bande FM aux éditeurs de catégorie A garantissant ainsi une pluralité des expressions, mais aussi de dénoncer de profondes inégalités régionales, avec seulement 11 % dans la région Nord Pas de Calais".
Ce fut aussi l'occasion pour le SNRL de se féliciter de la moyenne nationale de "21 % de fréquences attribuées en Bande FM aux éditeurs de catégorie A garantissant ainsi une pluralité des expressions, mais aussi de dénoncer de profondes inégalités régionales, avec seulement 11 % dans la région Nord Pas de Calais".