Une menace sur les PME éditrices de radios indépendantes
Le 11 décembre dernier, le CSA a pris la décision de modifier la méthode de calcul du plafond de concentration en radio. "Cette décision ouvre la voie à un nouvel épisode de concentration dans le média radio et menace nos PME éditrices de radios indépendantes, le pluralisme et la diversité audiovisuels.
C'est d’ailleurs dans ce contexte que le SIRTI a déposé un recours au Conseil d'Etat dès le 19 décembre 2013. Le syndicat précise que "face à la gravité de la situation créée par cette décision du CSA, qui provoque l’indignation de la plupart de ses adhérents, le SIRTI programme une série d'actions qui vont se déployer prochainement, en prenant de l’ampleur autant que de besoin tant au niveau national que local".
C'est d’ailleurs dans ce contexte que le SIRTI a déposé un recours au Conseil d'Etat dès le 19 décembre 2013. Le syndicat précise que "face à la gravité de la situation créée par cette décision du CSA, qui provoque l’indignation de la plupart de ses adhérents, le SIRTI programme une série d'actions qui vont se déployer prochainement, en prenant de l’ampleur autant que de besoin tant au niveau national que local".
Préserver le pluralisme et la liberté
La première d’entre elle a trouvé une résonance cet après-midi, dans l’édition du quotidien Le Monde. Le SIRTI publie une page interpellant Olivier Schrameck et l’ensemble des Conseillers du CSA, sur "les dangers que la décision du 11 décembre 2013 fait courir au pluralisme et à la liberté dans le média radio".
Pour le SIRTI, cette publication est une occasion de souligner que "les radios indépendantes sont écoutées chaque jour par 9 millions de français, un choix de nos concitoyens qui doit être mieux respecté".
Et le syndicat de conclure qu’il espère que "le CSA, prenant mieux conscience des enjeux de sa décision, aura la sagesse de revenir très vite sur sa décision afin de prévenir ses effets délétères imminents pour le pluralisme radiophonique".
Pour le SIRTI, cette publication est une occasion de souligner que "les radios indépendantes sont écoutées chaque jour par 9 millions de français, un choix de nos concitoyens qui doit être mieux respecté".
Et le syndicat de conclure qu’il espère que "le CSA, prenant mieux conscience des enjeux de sa décision, aura la sagesse de revenir très vite sur sa décision afin de prévenir ses effets délétères imminents pour le pluralisme radiophonique".