« C’est un sondage plus que décevant pour la famille des radios musicales ! » Cette vague de rentrée est effectivement à marquer d’une pierre noire pour la plupart des grands réseaux musicaux. « Non seulement notre famille perd des auditeurs de façon très spectaculaire, mais elle enregistre une de ses plus basses durées d’écoute depuis longtemps ! Fun et RTL2 en sont forcément les victimes collatérales ! »
Le volcanique directeur des musicales de la rue Bayart est obligé de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Pourtant lorsqu’on lui demande comment il vit ce mauvais sondage, l’animal marketing se réveille. Sa démonstration est impeccable. « Lorsque vous participez à une course à pied, vous considérez deux critères : d’abord, le temps que vous réalisez, et ensuite votre place sur la ligne d’arrivée. De ce point de vue, Fun demeure la seconde radio musicale de France ! Quand à RTL2, elle est la première radio de format jeune adulte, elle creuse même l’écart, sur ce critère, avec Virgin, Chérie et RFM ». Inutile de revoir la scène au ralenti : la foulée était parfaite.
Le volcanique directeur des musicales de la rue Bayart est obligé de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Pourtant lorsqu’on lui demande comment il vit ce mauvais sondage, l’animal marketing se réveille. Sa démonstration est impeccable. « Lorsque vous participez à une course à pied, vous considérez deux critères : d’abord, le temps que vous réalisez, et ensuite votre place sur la ligne d’arrivée. De ce point de vue, Fun demeure la seconde radio musicale de France ! Quand à RTL2, elle est la première radio de format jeune adulte, elle creuse même l’écart, sur ce critère, avec Virgin, Chérie et RFM ». Inutile de revoir la scène au ralenti : la foulée était parfaite.
De plus en plus de poids pour le package Fun-RTL2
Mais ce n’est pas tout. Tout bien considéré, Jérôme Fouqueray pense même que cette vague lui permet une véritable démonstration : « nous en sortons au bout du compte plutôt renforcés : il faut savoir que le poids du package Fun et RTL2 dans l’univers des musicales ne cesse de s’alourdir. En quelques années, nous passons de 16 à 20 % sur ce marché ».
Jérôme Fouqueray reconnaît bien entendu que la concurrence est rude. Mais il entend bien résister et reprendre des parts de marché. « La matinale de Bruno est solide. Lovin’Fun doit encore s’installer. Notre week-end est très fort, notamment sur les offres qui sont au cœur de l’ADN de la radio, comme Party Fun et l’Eurodance 25. Ce qui prouve notre pertinence sur ce marché. L’arrivée de MiKL le dimanche est également un succès, puisque nous dépassons désormais Skyrock et que nous réduisons notre retard avec NRJ de 63 % ».
Pour RTL2, Jérôme Fouqueray se réjouit également du bon niveau de la matinale avec Louise Ekland, et d’une soirée (20h-minuit) en progression devant tous ses concurrents adultes. « Nous sommes les seuls à diffuser une vraie play-list musicale ! »
En résumé, Cette première vague ne l’inquiète pas outrageusement. Et il veut même voir la suite de la saison avec un optimisme résolu : « Nous avons mieux résisté que les autres à cette mauvaise vague : nous reprendrons donc plus d’audience que les autres lorsque la tendance s’inversera ! »
C’est la théorie de la relativité selon Jérôme Fouqueray.
Jérôme Fouqueray reconnaît bien entendu que la concurrence est rude. Mais il entend bien résister et reprendre des parts de marché. « La matinale de Bruno est solide. Lovin’Fun doit encore s’installer. Notre week-end est très fort, notamment sur les offres qui sont au cœur de l’ADN de la radio, comme Party Fun et l’Eurodance 25. Ce qui prouve notre pertinence sur ce marché. L’arrivée de MiKL le dimanche est également un succès, puisque nous dépassons désormais Skyrock et que nous réduisons notre retard avec NRJ de 63 % ».
Pour RTL2, Jérôme Fouqueray se réjouit également du bon niveau de la matinale avec Louise Ekland, et d’une soirée (20h-minuit) en progression devant tous ses concurrents adultes. « Nous sommes les seuls à diffuser une vraie play-list musicale ! »
En résumé, Cette première vague ne l’inquiète pas outrageusement. Et il veut même voir la suite de la saison avec un optimisme résolu : « Nous avons mieux résisté que les autres à cette mauvaise vague : nous reprendrons donc plus d’audience que les autres lorsque la tendance s’inversera ! »
C’est la théorie de la relativité selon Jérôme Fouqueray.