Olivier Schrameck a évoqué tous les sujets importants qui concernent les médias audiovisuels dont, forcément, celui de la RNT. Pour le président du CSA : "la première phase de développement, décidée par le collège en fonction en janvier 2013 et à laquelle nous avons œuvré pendant deux ans, Patrice Gélinet tout particulièrement, aura permis des résultats substantiels même si le constat n’est pas entièrement satisfaisant, et laisse subsister des interrogations. Mais disons-le franchement. Si la RNT est une impasse, celle-ci sera constatée. Si la RNT est une espérance, celle-ci sera concrétisée" a précisé le Président...
"La RNT est espérée par nombre de radios qui veulent se développer et qui se consacrent notamment à faire vivre la communication dans nos territoires, parfois les moins pourvus pour des raisons sociales, économiques ou géographiques. La RNT n’est une contrainte pour personne. Le choix, réitéré à quatre reprises par le législateur, est de lui donner naissance. Donnons-lui les moyens de vivre. Et nous évaluerons son printemps tardif.
Comparaison n’est jamais raison, mais rappelons-nous tout de même les doutes qui avaient émaillé la naissance de la TNT, même s’ils s’expliquent largement par les craintes qu’avait fait naître la perspective d’un basculement de l’analogique au numérique. Rien de tel s’agissant aujourd’hui de la RNT puisque nous poursuivrons parallèlement le grand chantier de la densification de la bande FM" a souligné Olivier Schrameck.
Comparaison n’est jamais raison, mais rappelons-nous tout de même les doutes qui avaient émaillé la naissance de la TNT, même s’ils s’expliquent largement par les craintes qu’avait fait naître la perspective d’un basculement de l’analogique au numérique. Rien de tel s’agissant aujourd’hui de la RNT puisque nous poursuivrons parallèlement le grand chantier de la densification de la bande FM" a souligné Olivier Schrameck.