De même qu'il ne faut pas laisser les intellectuels jouer avec les allumettes, il faut encore moins laisser les gens d'antenne jouer avec l'image de notre radio. Non, ce n'est plus un luxe, désormais, d'avoir un community manager, chargé de gérer d'une manière globale l'image de notre radio. Car si les animateurs, qui sont par essence des gens futiles et superficiels c'est entendu, mais parfois aussi passionnés de communication et de nouvelles technologies, si les journalistes admettent qu'il faut faire preuve d'autant de faire-savoir que de savoir-faire, la radio en elle-même ne gagne pas obligatoirement à ce flux d'informations balancées en vrac sans harmonisation préalable.
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