"Les contrats aidés nous permettent d’accueillir et former des animateurs et de faire fonctionner la radio. Le travail quotidien à FPP est assuré par 5 salariés grâce à l’aide de ces contrats précaires et insatisfaisants (690 €/mois pour 20 h/semaine). Le gouvernement ne propose pas d’y mettre fin pour les remplacer par de meilleurs contrats plus protecteurs pour les salariés. Non, il souhaite simplement y mettre fin. Cette décision condamne les salariés de la radio au chômage et met la survie de notre antenne en péril. La mesure s’applique déjà : il est impossible de les renouveler" plaide la radio locale qui diffuse ses programmes à Paris et en région parisienne sur 106.3 et qui fédère 200 animateurs bénévoles.
Fréquence Paris Plurielle demande "l’abandon de ce projet dangereux pour les radios libres et l’ensemble du secteur associatif. Au contraire, nous demandons un vrai plan de soutien au secteur des radios associatives dont la vitalité et le contenu sont d’une incroyable richesse".