Cette toile d'Edouard Manet a-t-elle déclenché la censure de l'appli France Musique?
Sur France Musique, on s'en doute, lorsqu'on diffuse de la musique érotique, on n'entend pas spécialement vanter les prodigieuses caractéristiques physiques du curé de Camaret, ou du célèbre Dudule. Comme nos confrères de l'Obs ou de Zone Numérique le racontent sur leurs sites, la marque à la pomme s'est visiblement émue de la diffusion sur la radio d'une série de 5 émissions consacrées à la musique érotique.
Et à en juger par le sommaire, les programmateurs n'ont pas spécialement tendu la verge pour se faire fouetter : la première émission se propose de nous faire entendre "Il estoit une fillette" de Clément Janequin, ou "Auprès du feu l'on fait l'amour", de Marc-Antoine Charpentier. Quand aux plus audacieux, ils auront tout au plus pu écouter en rougissant les cours d'amour dans Carmina Burana de Carl Orff.
On a vu plus chaud. Ou alors, est-ce l'illustration, cette fameuse toile d'Edouard Manet, "Olympia" représentant scandaleusement une femme nue sur son lit, fixant effrontément le spectateur ? Une toile totalement scandaleuse, oui. En 1863.
Et à en juger par le sommaire, les programmateurs n'ont pas spécialement tendu la verge pour se faire fouetter : la première émission se propose de nous faire entendre "Il estoit une fillette" de Clément Janequin, ou "Auprès du feu l'on fait l'amour", de Marc-Antoine Charpentier. Quand aux plus audacieux, ils auront tout au plus pu écouter en rougissant les cours d'amour dans Carmina Burana de Carl Orff.
On a vu plus chaud. Ou alors, est-ce l'illustration, cette fameuse toile d'Edouard Manet, "Olympia" représentant scandaleusement une femme nue sur son lit, fixant effrontément le spectateur ? Une toile totalement scandaleuse, oui. En 1863.