Autant ce format paraît incontournable en radio nationale, autant ce sera plus problématique sur une radio régionale car les invités possibles seront moins nombreux et leur présence plus régulière donnera immédiatement des arguments à leurs opposants pour nous taxer de rouler pour tel ou tel. D'autre part, les élus locaux ne sont pas toujours les "bons clients" que peuvent représenter les "stars" qui font le tour des médias du 8è arrondissement parisien le dimanche soir.
Pourtant, notre crédibilité locale nous impose d'être pertinents sur les problèmes de
terrain et ce rendez-vous paraît incontournable. Il faudra donc être capable de l'installer à l'antenne, sur une tranche et une régularité non-dommageable pour l'écoute globale et qui, surtout, va nous permettre de capitaliser cette présence tout au long de la semaine : extraits distillés dans les journaux du début de semaine suivante, mais aussi nombreuses promos en amont avec des questions posées via Twitter par exemple par nos auditeurs. L'utilisation de Twitter permet en l'occurrence de se montrer moderne à peu de frais, d'inclure les questions des auditeurs et de récupérer au passage leurs followers. De plus, le fait d'inclure dans nos intervieweurs des
signatures de la PQR nous donne un moyen facile d'obtenir un relais papier.
En fait, seul un consultant pur-sucre serait capable d'apporter une réponse définitive à cette problématique. Le formateur que je suis préfère poser les bonnes questions à l'équipe locale et l'accompagner dans sa mise en place, en fonction de sa propre antenne et de son environnement politique, de la réponse la plus adaptée, en partant de cette question : qu'est-ce que cela va apporter à mon antenne en terme d'audience à court terme et, point essentiel trop souvent négligé, de crédibilité sur le long terme ?
Pourtant, notre crédibilité locale nous impose d'être pertinents sur les problèmes de
terrain et ce rendez-vous paraît incontournable. Il faudra donc être capable de l'installer à l'antenne, sur une tranche et une régularité non-dommageable pour l'écoute globale et qui, surtout, va nous permettre de capitaliser cette présence tout au long de la semaine : extraits distillés dans les journaux du début de semaine suivante, mais aussi nombreuses promos en amont avec des questions posées via Twitter par exemple par nos auditeurs. L'utilisation de Twitter permet en l'occurrence de se montrer moderne à peu de frais, d'inclure les questions des auditeurs et de récupérer au passage leurs followers. De plus, le fait d'inclure dans nos intervieweurs des
signatures de la PQR nous donne un moyen facile d'obtenir un relais papier.
En fait, seul un consultant pur-sucre serait capable d'apporter une réponse définitive à cette problématique. Le formateur que je suis préfère poser les bonnes questions à l'équipe locale et l'accompagner dans sa mise en place, en fonction de sa propre antenne et de son environnement politique, de la réponse la plus adaptée, en partant de cette question : qu'est-ce que cela va apporter à mon antenne en terme d'audience à court terme et, point essentiel trop souvent négligé, de crédibilité sur le long terme ?