La DGMIC a proposé une baisse de toutes les subventions de fonctionnement de 5%. Elle souhaitait par cette mesure pouvoir attribuer une part plus importante des 29 millions du FSER aux subventions sélectives. Les représentants des radios se sont unanimement opposés à cette proposition qui est inconcevable et risque en fin d’exercice budgétaire de fragiliser le FSER en l’exposant à un éventuel gel des crédits (puisqu’une première économie aurait été déjà réalisée). La proposition de barème pour la subvention de fonctionnement remise par la commission aux ministères sera donc identique à celle de 2012.
Une enveloppe insuffisante
Pour l’arrêté de barème relatif à la subvention sélective, la discussion n’est pas close. Les représentants des radios devront bientôt se positionner sur une nouvelle proposition, qui comme l’espère la CNRA devrait favoriser les éléments liés aux actions et aux programmes radiophoniques plutôt que les critères structurants.
En effet, dans une enveloppe fermée (et bien insuffisante au regard des besoins réels des radios) la part dévolue à la subvention sélective risquerait d’être sensiblement la même en 2013 qu’en 2012.
La DGMIC a également annoncé que pour 2014, un nouveau décret sera rédigé. La CNRA sera bien évidemment associée à cette rédaction. Enfin, le calendrier des réunions de la commission devrait pouvoir se poursuivre sur le même rythme qu’en 2012.
En effet, dans une enveloppe fermée (et bien insuffisante au regard des besoins réels des radios) la part dévolue à la subvention sélective risquerait d’être sensiblement la même en 2013 qu’en 2012.
La DGMIC a également annoncé que pour 2014, un nouveau décret sera rédigé. La CNRA sera bien évidemment associée à cette rédaction. Enfin, le calendrier des réunions de la commission devrait pouvoir se poursuivre sur le même rythme qu’en 2012.