Pour les deux organismes : "L'augmentation du nombre d'opérateurs émargeant au Fond de Soutien à l'Expression Radiophonique produit des effets indésirables. Ces effets sont en totale contradiction avec l'esprit même qui préside à la mise en place du FSER. L'effet le plus visible est la diminution de la valeur du point pour l'attribution de la subvention sélective. Cette diminution entraîne automatiquement une baisse de la subvention sélective pour une note constante et même, dans certains cas, pour une note en augmentation. Les moyens mis en œuvre pour financer les actions sont par conséquent moins importants. Les efforts des radios ne sont plus encouragés, plus récompensés".
Une hausse a minima de 0,6%
L'autre effet pervers serait de chercher à compenser la baisse de la subvention sélective par une baisse de la subvention d'exploitation et de réaffecter la différence à la part sélective. Cette fausse solution serait désastreuse pour le secteur.
La CNRA avec la FFRC se positionnent pour une augmentation significative du FSER avec une indexation sur le nombre d'opérateurs autorisés à émettre et une indexation sur le coût de la vie et s'opposent à toutes négociations qui porteraient sur une diminution de la subvention d'exploitation.
Les deux fédérations souhaitent a minima la garantie du budget 2017 avec une hausse de 6% (1,7 M€) et la garantie que ne soit pas appliqué un gel de 7% sur cette enveloppe en fin d’année. Elles demandent qu’une vraie négociation se mette enfin en place entre le Ministère de la Culture et de la Communication, le CSA et les organisations professionnelles en vue de la préparation du barème 2018.
Lire ICI la déclaration commune.
La CNRA avec la FFRC se positionnent pour une augmentation significative du FSER avec une indexation sur le nombre d'opérateurs autorisés à émettre et une indexation sur le coût de la vie et s'opposent à toutes négociations qui porteraient sur une diminution de la subvention d'exploitation.
Les deux fédérations souhaitent a minima la garantie du budget 2017 avec une hausse de 6% (1,7 M€) et la garantie que ne soit pas appliqué un gel de 7% sur cette enveloppe en fin d’année. Elles demandent qu’une vraie négociation se mette enfin en place entre le Ministère de la Culture et de la Communication, le CSA et les organisations professionnelles en vue de la préparation du barème 2018.
Lire ICI la déclaration commune.