Roberto Ciurleo reste pragmatique. Il se retrousse les manches pour la suite de la saison. Et tient à féliciter NRJ et France Bleu pour leurs performances.
Roberto Ciurleo se veut pragmatique. Sa radio a perdu 150.000 auditeurs sur un an et plus de 210.000 par rapport à la dernière vague, « mais dans un contexte de rentrée extrêmement difficile pour la radio musicale. C’est une des deux audiences les plus basses pour cette catégorie depuis 2007 et septembre-octobre 2011 ! ».
Si la radio musicale s’enrhume, ce n’est pas Virgin qui éternue le plus fort. « Ce n’est pas un bon score, ce n’est pas une bonne audience pour Virgin. Mais nous souffrons tous d’une vague qui ne nous est pas favorable, et j’ai le sentiment que mes fondamentaux sont bons. Dans ce contexte, la performance de NRJ est d’autant plus spectaculaire. Morgan a réussi un très joli tour de force : il a fait de NRJ LE format jeune de référence, qui a réussi à s’approprier tous les courants musicaux. NRJ siphonne tous les autres, notamment sur la tranche des 13-24 ans. Elle recrute des jeunes, et c’est très bon pour notre média ! »
Trois accidents conjoncturels ont pesé sur l’audience de Virgin, selon Roberto. « D’abord, des congés scolaires beaucoup plus impactants que sur les autres vagues. Onze jours contre un seul l’an dernier : nous en avons souffert, comme les autres radios. D’autre part, cette vague se caractérise par une relative atonie des 25-34 ans dans le sondage. Or, c’est précisément notre cœur de cible, et nous enregistrons d’excellents scores sur cette tranche d’âge. D’ailleurs, nous enregistrons cette saison le meilleur score jamais atteint sur cette cible ». Dommage que son « poids » sur le global soit en baisse.
Si la radio musicale s’enrhume, ce n’est pas Virgin qui éternue le plus fort. « Ce n’est pas un bon score, ce n’est pas une bonne audience pour Virgin. Mais nous souffrons tous d’une vague qui ne nous est pas favorable, et j’ai le sentiment que mes fondamentaux sont bons. Dans ce contexte, la performance de NRJ est d’autant plus spectaculaire. Morgan a réussi un très joli tour de force : il a fait de NRJ LE format jeune de référence, qui a réussi à s’approprier tous les courants musicaux. NRJ siphonne tous les autres, notamment sur la tranche des 13-24 ans. Elle recrute des jeunes, et c’est très bon pour notre média ! »
Trois accidents conjoncturels ont pesé sur l’audience de Virgin, selon Roberto. « D’abord, des congés scolaires beaucoup plus impactants que sur les autres vagues. Onze jours contre un seul l’an dernier : nous en avons souffert, comme les autres radios. D’autre part, cette vague se caractérise par une relative atonie des 25-34 ans dans le sondage. Or, c’est précisément notre cœur de cible, et nous enregistrons d’excellents scores sur cette tranche d’âge. D’ailleurs, nous enregistrons cette saison le meilleur score jamais atteint sur cette cible ». Dommage que son « poids » sur le global soit en baisse.
Au revoir Cyril Hanouna, bonjour Enora !
Enora installe très confortablement son show dans le paysage...
Quand au troisième accident conjoncturel, tout le monde l’avait forcément anticipé sur le marché. C’est le départ de Cyril Hanouna, qui « tenait » le morning de Virgin depuis plusieurs saisons. « On accuse forcément le coup du départ de Cyril. On sait qu’il faut du temps pour qu’un nouveau morning s’installe vraiment. Mais le travail de Christophe Beaugrand va dans le bon sens et je suis vraiment optimiste. Il y a déjà de bons signaux, comme le succès du jeu de 7h20, où l’on paye le loyer de nos auditeurs. »
Des bons signaux, Roberto en voit d’autres : « D’abord, nos tranches locales, entre 16h et 20h, prennent 24% de PDA. Et puis surtout, c’est un départ en fanfare pour Enora, le soir. La tranche multiplie sa part d’audience par 3 et gagne 13% en audience cumulée ! »
Bref, Roberto ne désarme pas. Pour lui, structurellement, Virgin va dans le bon sens et tient le cap sur ses objectifs. « On s’accroche ! »
Des bons signaux, Roberto en voit d’autres : « D’abord, nos tranches locales, entre 16h et 20h, prennent 24% de PDA. Et puis surtout, c’est un départ en fanfare pour Enora, le soir. La tranche multiplie sa part d’audience par 3 et gagne 13% en audience cumulée ! »
Bref, Roberto ne désarme pas. Pour lui, structurellement, Virgin va dans le bon sens et tient le cap sur ses objectifs. « On s’accroche ! »