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Le classement est disponible ICI.
Trois questions à... Joël Ronez (Binge Audio)
LLPR - Quel est l’intérêt pour l’entreprise Binge Audio d’être contrôlée par l’ACPM ?
JR - C'est une étape nécessaire sur le marché du podcast, qui continue son évolution vers une structuration, des outils professionnels à même de garantir transparence et confiance dans une marché publicitaire. Etre mesuré, c'est accéder à une dimension professionnelle, et contribuer à une visibilité globale de ce marché, et de faire bénéficier de nos programmes d'une visibilité.
LLPR - Pensez-vous que annonceurs sont demandeurs de chiffres certifiés pour acheter de l’espace ?
JR - Bien entendu. Nous avions déjà des chiffres dignes de confiance, car nous avons choisi la plateforme Acast qui respecte les normes IAB 2.0, mais pour développer l'activité de manière plus pérenne, l'étape d'une certification tierce était indispensable.
LLPR - Quelles ont été vos réactions suite à la publication de ce premier classement ?
JR - Nous sommes évidemment ravis d'être premiers, mais nous souhaitons avant tout être rejoints par d'avantage d'éditeurs. Il ne s'agit pour nous que d'une première étape.
LLPR - Les premiers résultats modifient-ils votre stratégie pour la nouvelle saison ? Allez-vous y prêtez davantage attention ?
JR - Non, notre stratégie de "premiumisation" de notre offre est engagée depuis plus d'un an, et porte déjà ses fruits. Nous travaillons sur des cycles à plus long termes, nos programmes et leurs lancement sont aujourd'hui définis plusieurs mois à l'avance, et la configuration de la rentrée est en grande partie établie. Mais ces indicateurs de performance sont très utiles dans le pilotage de nos offre, et l'évaluation de la performance.
JR - C'est une étape nécessaire sur le marché du podcast, qui continue son évolution vers une structuration, des outils professionnels à même de garantir transparence et confiance dans une marché publicitaire. Etre mesuré, c'est accéder à une dimension professionnelle, et contribuer à une visibilité globale de ce marché, et de faire bénéficier de nos programmes d'une visibilité.
LLPR - Pensez-vous que annonceurs sont demandeurs de chiffres certifiés pour acheter de l’espace ?
JR - Bien entendu. Nous avions déjà des chiffres dignes de confiance, car nous avons choisi la plateforme Acast qui respecte les normes IAB 2.0, mais pour développer l'activité de manière plus pérenne, l'étape d'une certification tierce était indispensable.
LLPR - Quelles ont été vos réactions suite à la publication de ce premier classement ?
JR - Nous sommes évidemment ravis d'être premiers, mais nous souhaitons avant tout être rejoints par d'avantage d'éditeurs. Il ne s'agit pour nous que d'une première étape.
LLPR - Les premiers résultats modifient-ils votre stratégie pour la nouvelle saison ? Allez-vous y prêtez davantage attention ?
JR - Non, notre stratégie de "premiumisation" de notre offre est engagée depuis plus d'un an, et porte déjà ses fruits. Nous travaillons sur des cycles à plus long termes, nos programmes et leurs lancement sont aujourd'hui définis plusieurs mois à l'avance, et la configuration de la rentrée est en grande partie établie. Mais ces indicateurs de performance sont très utiles dans le pilotage de nos offre, et l'évaluation de la performance.