Les membres ont discuté de la future implémentation du Digital Services Act (DSA) et de son interaction avec le Code des Pratiques en désinformation et des autres législations comme la Directive sur les services de médias audiovisuels (SMA) et le futur règlement sur la transparence et le ciblage de la publicité politique.
En effet, comme l’a déjà répété l’ERGA, une supervision indépendante, un rôle actif des régulateurs de médias et l’amélioration de la coopération entre eux au sein de l’ERGA, ainsi qu’avec la Commission sur la question des très grandes plateformes, sont la clé pour assurer l’implémentation du DSA et l’atteinte de ses grands objectifs.
En effet, comme l’a déjà répété l’ERGA, une supervision indépendante, un rôle actif des régulateurs de médias et l’amélioration de la coopération entre eux au sein de l’ERGA, ainsi qu’avec la Commission sur la question des très grandes plateformes, sont la clé pour assurer l’implémentation du DSA et l’atteinte de ses grands objectifs.
Une attention spéciale a été portée sur le travail mené dans le champ de la désinformation et, en particulier, aux récits narratifs de désinformation liés à la guerre en Ukraine. Dans la foulée, les membres ont présenté une mise à jour détaillée de la position officielle que l’ERGA prépare sur base du projet de règlement sur la transparence et le ciblage de la publicité politique.
"Il y a un besoin crucial de renforcer l’indépendance de l’ERGA en lui fournissant des ressources propres et d’accroitre les ressources humaines et financières de ses membres au niveau national" a conclu Karim Ibourki, président de l’ERGA, par ailleurs président du CSA en Belgique.
"Il y a un besoin crucial de renforcer l’indépendance de l’ERGA en lui fournissant des ressources propres et d’accroitre les ressources humaines et financières de ses membres au niveau national" a conclu Karim Ibourki, président de l’ERGA, par ailleurs président du CSA en Belgique.