Fleur Pellerin assistera ce mercredi à 10h à son premier Conseil des ministres en qualité de ministre de la Culture et de la Communication. Un nouveau portefeuille ministériel pour cette brillante élève passée par l'Essec, l'IEP de Paris et par l'ENA et qui succède donc à Aurélie Filippetti, à qui les professionnels de la radio doivent les Assises de la Radio, organisées le 25 novembre 2013.
A l'Automne dernier, lors de ces Assises de la Radio, Aurélie Filippetti, évoquant la radio française, avait indiqué être "consciente de la fragilité de cette économie. Le succès de la radio tient à son étonnante capacité d’adaptation".
Depuis, la RNT a, seule et péniblement, démarré dans la douleur. Fleur Pellerin doit donc rapidement se positionner sur ce dossier d'autant plus qu'elle est aussi très attendue sur d'autres nombreuses problématiques : "Pour maintenir un paysage radiophonique diversifié et pluriel, nous appelons Fleur Pellerin à agir rapidement pour redonner au plafond de concentration en radio toute sa force après la décision du 11 décembre 2013 du CSA qui est venue l'affaiblir" scandait déjà hier soir le SIRTI.
A l'Automne dernier, lors de ces Assises de la Radio, Aurélie Filippetti, évoquant la radio française, avait indiqué être "consciente de la fragilité de cette économie. Le succès de la radio tient à son étonnante capacité d’adaptation".
Depuis, la RNT a, seule et péniblement, démarré dans la douleur. Fleur Pellerin doit donc rapidement se positionner sur ce dossier d'autant plus qu'elle est aussi très attendue sur d'autres nombreuses problématiques : "Pour maintenir un paysage radiophonique diversifié et pluriel, nous appelons Fleur Pellerin à agir rapidement pour redonner au plafond de concentration en radio toute sa force après la décision du 11 décembre 2013 du CSA qui est venue l'affaiblir" scandait déjà hier soir le SIRTI.
Si le SIRTI se félicite de la nomination de Fleur Pellerin au sein du nouveau Gouvernement de Manuel Valls, pour autant "la nouvelle ministre devra faire preuve d’audace et de courage notamment pour affronter les divers conservatismes qui freinent la mutation numérique du paysage audiovisuel".
Pour le Syndicat Interprofessionnel des Radios et Télévisions Indépendantes : "Il est également urgent que la nouvelle ministre soutienne le déploiement de la RNT en France afin d’en confirmer le succès. Au contraire de la radio sur IP, la RNT permet une numérisation autonome du média radio, elle garantit le maintien pour tous les français d'une offre radiophonique gratuite, anonyme et diversifiée et préserve le modèle économique de la radio".
Pour le Syndicat Interprofessionnel des Radios et Télévisions Indépendantes : "Il est également urgent que la nouvelle ministre soutienne le déploiement de la RNT en France afin d’en confirmer le succès. Au contraire de la radio sur IP, la RNT permet une numérisation autonome du média radio, elle garantit le maintien pour tous les français d'une offre radiophonique gratuite, anonyme et diversifiée et préserve le modèle économique de la radio".
Les enjeux sont nombreux pour l’industrie audiovisuelle et "il devient urgent que le Gouvernement accompagne avec volontarisme les PME de la radio et de la télévision qui ont été mises en danger, en contradiction avec la Loi, au cours des dernières années".
Des PME représentées par le SIRTI qui disent souffrir d’un fort déséquilibre concurrentiel par rapport aux groupes audiovisuels "qui ont pu se développer en obtenant la quasi totalité de la ressource hertzienne disponible en radio et en télévision. Aujourd’hui, le pluralisme et la diversité de notre paysage sont gravement menacés".
La nouvelle ministre ne pourra pas dire qu'elle n'aura pas été prévenue.
Des PME représentées par le SIRTI qui disent souffrir d’un fort déséquilibre concurrentiel par rapport aux groupes audiovisuels "qui ont pu se développer en obtenant la quasi totalité de la ressource hertzienne disponible en radio et en télévision. Aujourd’hui, le pluralisme et la diversité de notre paysage sont gravement menacés".
La nouvelle ministre ne pourra pas dire qu'elle n'aura pas été prévenue.