Les patrons de l'audiovisuel public réunis au Centre Pompidou à Paris, pour le lancement de CULTURE PRIME. / Photo François Quairel, La Lettre Pro de la Radio
Culture Prime, nouvelle étape dans la coopération de l'audiovisuel public
Un air de lancement de franceinfo. Les six patrons des entreprises de l’audiovisuel public français ont présenté CULTURE PRIME, présenté comme un média social culturel, destiné à "favoriser l’accès à la culture et à la connaissance au plus grand nombre", sous l'égide de Michel Field pour France TV et Sandrine Treiner, directrice de France Culture.
La plateforme CULTURE PRIME offre une sélection de contenus numériques en vidéo originaux produits par chacun des médias du service public audiovisuel, avec un public cible : les jeunes, avides de formats vidéos consommés sur les réseaux sociaux.
La plateforme CULTURE PRIME offre une sélection de contenus numériques en vidéo originaux produits par chacun des médias du service public audiovisuel, avec un public cible : les jeunes, avides de formats vidéos consommés sur les réseaux sociaux.
100 % réseaux sociaux
Chaque jour, des vidéos (sous format carrés, sous titrés sur le modèle de "Brut") seront produites par France Télévisions, Radio France, France Médias Monde, Arte, l’INA et TV5MONDE. Ces vidéos courtes et dynamiques, organisées en collections, seront diffusées sous le label CULTURE PRIME sur l’ensemble des réseaux sociaux des entreprises de l’audiovisuel public français. Elles feront l’objet de publications croisées leur assurant une exposition optimale par l’addition de l’ensemble des communautés.
Publiées sur Facebook (ici) dans un premier temps, les vidéos seront déployées sur l'ensemble des réseaux sociaux des sociétés du service public ainsi que dans une lettre d'information éditoriale.
"Un projet qui a mis 12 mois à aboutir" a indiqué Sandrine Treiner, l'une des coordinatrices du projet.
Publiées sur Facebook (ici) dans un premier temps, les vidéos seront déployées sur l'ensemble des réseaux sociaux des sociétés du service public ainsi que dans une lettre d'information éditoriale.
"Un projet qui a mis 12 mois à aboutir" a indiqué Sandrine Treiner, l'une des coordinatrices du projet.