Si, avec sa confédération, le SNJ-CGT n’est pas favorable à ce type de contrat, il estime que "la mesure prise par le gouvernement dans la précipitation risque de plonger plus de 1000 salariés au chômage et d’amener un certain nombre de radios associatives et locales à cesser d’émettre". Le SNJ-CGT demande au gouvernement de "décréter un moratoire, d’augmenter le Fond de soutien à l’expression radiophonique (aide perçue sur les recettes des régies publicitaires des radios et télévisions commerciales) et de réviser les aides à la presse pour permettre aux radios locales de transformer les contrats aidés en CDI"
Le SNJ-CGT promet d'être attentif aux mesures qui seront prises "pour éviter que ces salariés précaires indispensables à la survie de ces radios ne soient pas jetés à la rue". Par ailleurs, le SNRL a fait remarquer à juste titre que la transformation des contrats aidés en CDI atteint 65 % dans cette branche (lire également ICI et ICI).
Le SNJ-CGT promet d'être attentif aux mesures qui seront prises "pour éviter que ces salariés précaires indispensables à la survie de ces radios ne soient pas jetés à la rue". Par ailleurs, le SNRL a fait remarquer à juste titre que la transformation des contrats aidés en CDI atteint 65 % dans cette branche (lire également ICI et ICI).