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Les radios communautaires sont notamment considérées comme des courroies de transmission et des services nécessaires et essentiels pour véhiculer les informations en rapport au Covid-19. "Il y a, à peu près, 80% de ressources financières en moins et les radios font 120% du travail qu'ils doivent faire habituellement compte tenu de la situation extrême et du besoin" indique Simon Forgues, directeur de la communication de l'ARC. Pour ce faire, l'ARC à plus d'un tour dans son sac et Simon Forgues, en véritable Geek, rédige sur le site de l'Alliance, des articles qui permettent aux stations de produire en situation de crise ou encore de réaliser une émission en dehors du studio avec un Raspberry Pi (ce petit ordinateur à 30€ que les Geek utilisent pour tout faire). Il donne même les adresses pour acheter le matériel ou un système clé en main proposé par un autre site.
"J'ai une passion pour les technologies et le métier radio. J'ai bourlingué un peu partout et j'ai des endroits ou je vais grappiller des informations. C'est beaucoup de travail, mais on a des radios qui ont des budgets et des ressources humaines limités. Tout est pensé pour les radios qui n'ont pas beaucoup d'argent à dépenser ou qui n'ont pas accès à des techniciens. Qu'elles puissent s'équiper sans qu'elles perdent des heures et des heures à chercher comment faire." nous indique-t-il.
Récemment, l'ARC du Canada à lancé une campagne de promotion d’achat local et Simon s'en explique : "La survie de nos médias est liée à la survie et à la vitalité de nos communautés mais c'est intimement lié à l'activité économique avec ceux qui amènent de l'eau au moulin par la publicité. Le constat est difficile mais nous voulons que nos auditeurs aient le réflexe d'acheter localement."
Récemment, l'ARC du Canada à lancé une campagne de promotion d’achat local et Simon s'en explique : "La survie de nos médias est liée à la survie et à la vitalité de nos communautés mais c'est intimement lié à l'activité économique avec ceux qui amènent de l'eau au moulin par la publicité. Le constat est difficile mais nous voulons que nos auditeurs aient le réflexe d'acheter localement."