LLP - Nova atteint les 1.1% d'audience cumulée, stable sur une vague et sur un an. Commentaire ?
BD - Nous sommes dans les hautes eaux des audiences de Nova dans le cadre de la marge d'erreur de Médiamétrie. En milliers d'auditeurs c'est le plus haut score qu'on n'ait jamais vu. C'est une belle année pour Nova.
LLP - Il y a une petite baisse de la durée d'écoute, comment l'interpréter ?
BD - Cela fait 25 ans que j'ai arrêté d'interpréter le tirage statistique ! Tous les gens sérieux qui rentrent dans le détail des sondages savent qu'il y a des variations statistiques d'un sondage sur l'autre qui ne veulent absolument rien dire.
BD - Nous sommes dans les hautes eaux des audiences de Nova dans le cadre de la marge d'erreur de Médiamétrie. En milliers d'auditeurs c'est le plus haut score qu'on n'ait jamais vu. C'est une belle année pour Nova.
LLP - Il y a une petite baisse de la durée d'écoute, comment l'interpréter ?
BD - Cela fait 25 ans que j'ai arrêté d'interpréter le tirage statistique ! Tous les gens sérieux qui rentrent dans le détail des sondages savent qu'il y a des variations statistiques d'un sondage sur l'autre qui ne veulent absolument rien dire.
LLP - Depuis votre sortie des Indés Radios, est-ce que ce poids en audience est suffisant pour vendre Nova ?
BD - Oui, autrement nous serions en train de couler ce qui n'est pas le cas du tout.
LLP - Et TSF Jazz ?
BD - Nous n'avons pas de sondages nationaux sur TSF Jazz, elle n'est présente que dans 11 villes françaises de petite taille à part Paris et Nice, et la station ne souscrit pas au sondage national. Nous en saurons plus la semaine prochaine avec les sondages Ile-de-France. En général elle se maintient bien.
BD - Oui, autrement nous serions en train de couler ce qui n'est pas le cas du tout.
LLP - Et TSF Jazz ?
BD - Nous n'avons pas de sondages nationaux sur TSF Jazz, elle n'est présente que dans 11 villes françaises de petite taille à part Paris et Nice, et la station ne souscrit pas au sondage national. Nous en saurons plus la semaine prochaine avec les sondages Ile-de-France. En général elle se maintient bien.
LLP - Et sur Nova, quelle est la proportion d'audience réalisée en province ?
BD - On est en général à 50/50, c'est assez stable aussi.
LLP - Il y a eu beaucoup de nouvelles récemment sur l'ouverture du capital de Nova à de nouveaux investisseurs, et des rumeurs ce matin de BFM Business sur les noms de certains investisseurs ?
BD - (rires) Ecoutez, il y a un dossier qui circule dans Paris pour cette recherche d'investisseurs, tous les gens qui s'intéressent aux médias regardent bien évidemment le dossier !
LLP - Cette entrée de nouveaux investisseurs aura-t-elle un impact sur la ligne éditoriale de Nova ?
BD - Non, autrement ce n'est plus Nova !
LLP - Cette entrée d'investisseurs va-t-elle permettre de développer Nova en province ?
BD - Nova, ce n'est pas que de la radio, c'est une marque, et cette entrée d'investisseurs permettra de développer cette marque sous tout un tas de choses, la radio étant bien entendu un des vaisseaux amiraux de la marque.
LLP - Quels sont ces nouveaux axes de développement ?
BD - On réserve cette information à nos investisseurs !
LLP - La prochaine Nuit Zébrée de Nova se passe à Lyon en partenariat avec une radio locale, RTU. Est-ce que RTU va devenir Nova avec, par exemple, une syndication de programmes comme Sauvagine à Bordeaux ?
BD - Nous lançons un partenariat avec RTU à l'occasion de cette Nuit Zébrée. En ce qui concerne la syndication, on verra. Pour l'instant nous lançons un partenariat, ce que ça deviendra dans le futur, on verra. Si vous voulez me faire dire que j'adorerais que Nova soit à Lyon, je vais vous dire : quelle surprise ! J'adorerais que Nova soit à Lyon depuis 20 ans. Et là, il y a une radio qui s'appelle RTU, qui a une programmation proche de la nôtre, et bien on va essayer de travailler avec eux pour que les lyonnais puissent écouter de la bonne musique et de la bonne radio, sans pour autant parler de syndication.
BD - On est en général à 50/50, c'est assez stable aussi.
LLP - Il y a eu beaucoup de nouvelles récemment sur l'ouverture du capital de Nova à de nouveaux investisseurs, et des rumeurs ce matin de BFM Business sur les noms de certains investisseurs ?
BD - (rires) Ecoutez, il y a un dossier qui circule dans Paris pour cette recherche d'investisseurs, tous les gens qui s'intéressent aux médias regardent bien évidemment le dossier !
LLP - Cette entrée de nouveaux investisseurs aura-t-elle un impact sur la ligne éditoriale de Nova ?
BD - Non, autrement ce n'est plus Nova !
LLP - Cette entrée d'investisseurs va-t-elle permettre de développer Nova en province ?
BD - Nova, ce n'est pas que de la radio, c'est une marque, et cette entrée d'investisseurs permettra de développer cette marque sous tout un tas de choses, la radio étant bien entendu un des vaisseaux amiraux de la marque.
LLP - Quels sont ces nouveaux axes de développement ?
BD - On réserve cette information à nos investisseurs !
LLP - La prochaine Nuit Zébrée de Nova se passe à Lyon en partenariat avec une radio locale, RTU. Est-ce que RTU va devenir Nova avec, par exemple, une syndication de programmes comme Sauvagine à Bordeaux ?
BD - Nous lançons un partenariat avec RTU à l'occasion de cette Nuit Zébrée. En ce qui concerne la syndication, on verra. Pour l'instant nous lançons un partenariat, ce que ça deviendra dans le futur, on verra. Si vous voulez me faire dire que j'adorerais que Nova soit à Lyon, je vais vous dire : quelle surprise ! J'adorerais que Nova soit à Lyon depuis 20 ans. Et là, il y a une radio qui s'appelle RTU, qui a une programmation proche de la nôtre, et bien on va essayer de travailler avec eux pour que les lyonnais puissent écouter de la bonne musique et de la bonne radio, sans pour autant parler de syndication.
LLP - Un commentaire sur la dernière décision du tribunal en votre faveur sur votre litige avec les Indés Radios ?
BD - No comment.
BD - No comment.