Bertrand De Villiers reste l'actionnaire majoritaire d'Alouette
LLPR - Vous annoncez une prise de participation du groupe Ouest France, déjà présent dans la radio avec Hit West, Océane, et Cristal. Pour quelles raisons ?
BDV - Avec les trois radios du Groupe Ouest-France, nous émettons sur des zones à la fois communes et complémentaires. Nous sommes proches depuis 35 ans mais nous avons décidé de nous rapprocher un peu plus. Ils sont plus concernés par la Bretagne et la Normandie, voire l'Ile de France, quand Alouette regarde plutôt vers le Centre-Val de Loire et la Nouvelle Aquitaine. L'idée est de créer des liens entre des radios de proximité du Grand Ouest, sur l'Arc Manche-Atlantique qui va de la Seine à la Gironde.
LLPR - Vous vous rapprochez de votre rivale Hit West…
BDV - Nous allons maintenir un climat de saine concurrence entre nous. Nous nous côtoyons depuis longtemps étant notamment membres co-fondateurs des Indés Radios en 1992. Le Groupe Ouest-France, avec ses quotidiens Presse Océan, le Courrier de l'Ouest et le Maine Libre sait parfaitement gérer cette notion de la concurrence. Tout comme il croit particulièrement à l'avenir de la radio. Nous partageons cette conviction.
LLPR - Qu’est-ce que cela change pour Alouette ?
BDV - Je reste l’actionnaire de référence en conservant l'entière gouvernance de la station. Il s'agit de l'investissement minoritaire d'un grand acteur du monde de la communication dans une belle radio pluri-régionale, la première dans sa catégorie. Quant à ALOUETTE, j'ai souhaité l'adosser avec confiance à un Groupe historique et solide du Grand Ouest.
LPPR - Quels types de passerelles sont envisageables ?
BDV - Nous collaborons depuis longtemps avec la régie publicitaire des radios de Ouest France, Régie Radio Régions, qui nous commercialise à Angers, et sur les départements de la Mayenne et du Morbihan. Il y aura certainement d’autres passerelles du fait de la complémentarité de nos zones.
BDV - Avec les trois radios du Groupe Ouest-France, nous émettons sur des zones à la fois communes et complémentaires. Nous sommes proches depuis 35 ans mais nous avons décidé de nous rapprocher un peu plus. Ils sont plus concernés par la Bretagne et la Normandie, voire l'Ile de France, quand Alouette regarde plutôt vers le Centre-Val de Loire et la Nouvelle Aquitaine. L'idée est de créer des liens entre des radios de proximité du Grand Ouest, sur l'Arc Manche-Atlantique qui va de la Seine à la Gironde.
LLPR - Vous vous rapprochez de votre rivale Hit West…
BDV - Nous allons maintenir un climat de saine concurrence entre nous. Nous nous côtoyons depuis longtemps étant notamment membres co-fondateurs des Indés Radios en 1992. Le Groupe Ouest-France, avec ses quotidiens Presse Océan, le Courrier de l'Ouest et le Maine Libre sait parfaitement gérer cette notion de la concurrence. Tout comme il croit particulièrement à l'avenir de la radio. Nous partageons cette conviction.
LLPR - Qu’est-ce que cela change pour Alouette ?
BDV - Je reste l’actionnaire de référence en conservant l'entière gouvernance de la station. Il s'agit de l'investissement minoritaire d'un grand acteur du monde de la communication dans une belle radio pluri-régionale, la première dans sa catégorie. Quant à ALOUETTE, j'ai souhaité l'adosser avec confiance à un Groupe historique et solide du Grand Ouest.
LPPR - Quels types de passerelles sont envisageables ?
BDV - Nous collaborons depuis longtemps avec la régie publicitaire des radios de Ouest France, Régie Radio Régions, qui nous commercialise à Angers, et sur les départements de la Mayenne et du Morbihan. Il y aura certainement d’autres passerelles du fait de la complémentarité de nos zones.