Bernard Montiel rejoint RFM le week-end
LLPR - Vous recevez Francis Cabrel pour votre première émission « Une heure avec » samedi et dimanche à partir de 12h. Que va-t-on entendre ?
Bernard Montiel - C’est vraiment un invité exceptionnel. On croit connaître beaucoup de choses sur Francis Cabrel. Pendant cet entretien de deux fois une heure, j’essaye de toujours tirer plus informations sur lui, sa carrière, ce qui l’a construit ou encore ses influences. On aborde beaucoup de sujets. On sait qu’il a un peu de mal à se livrer. Il a parle de ce trac qu’il a toujours avant de monter sur scène, d’ailleurs, il va vivre une grande aventure le 16 octobre puisqu’il va se produire sur la scène du Royal Albert Hall à Londres, c’est très rare pour un artiste français. Au cours de l’entretien, il raconte comment il construit ses albums ou encore comment il a réussit à transcender sa timidité à 20 ans.
LLPR - Globalement, quels genres d’invités allez-vous recevoir ?
BM - Ce sont donc deux invités par week-end, un le samedi et un autre le dimanche. Pour la première, nous avons choisi de consacrer ces deux heures à Francis Cabrel, au vu du caractère exceptionnel de sa présence. Je vais recevoir des invités musicaux, les prochains seront Marc Lavoine et Françoise Hardy mais pas seulement. J’ai contacté des écrivains ou de personnalités issues du cinéma.
Bernard Montiel - C’est vraiment un invité exceptionnel. On croit connaître beaucoup de choses sur Francis Cabrel. Pendant cet entretien de deux fois une heure, j’essaye de toujours tirer plus informations sur lui, sa carrière, ce qui l’a construit ou encore ses influences. On aborde beaucoup de sujets. On sait qu’il a un peu de mal à se livrer. Il a parle de ce trac qu’il a toujours avant de monter sur scène, d’ailleurs, il va vivre une grande aventure le 16 octobre puisqu’il va se produire sur la scène du Royal Albert Hall à Londres, c’est très rare pour un artiste français. Au cours de l’entretien, il raconte comment il construit ses albums ou encore comment il a réussit à transcender sa timidité à 20 ans.
LLPR - Globalement, quels genres d’invités allez-vous recevoir ?
BM - Ce sont donc deux invités par week-end, un le samedi et un autre le dimanche. Pour la première, nous avons choisi de consacrer ces deux heures à Francis Cabrel, au vu du caractère exceptionnel de sa présence. Je vais recevoir des invités musicaux, les prochains seront Marc Lavoine et Françoise Hardy mais pas seulement. J’ai contacté des écrivains ou de personnalités issues du cinéma.
LLPR - Pascal Nègre réalise une interview également sur RFM. Vous n’allez pas vous marcher dessus ?
BM - On a pas la même façon d’interview, j’adore ce que fait Pascal ! Lui, démarre cette saison avec des artistes qui sortent des albums : Zazie et Kendji. Il y a tellement de personnalités à inviter ! Je crois que RFM veut vraiment parier sur les interviews de personnalités musicales, littéraires ou issues du cinéma cette saison : chez moi, chez Pascal Nègre ou même dans la matinale. C’est ce qui intéresse les gens !
Pour sa première, Bernard Montiel a reçu Francis Cabrel
LLPR - Vous avez quitté M Radio où vous animiez la tranche 9h / 12h la saison dernière. Pour quelle raison ?
BM - J’ai beaucoup aimé travailler avec eux pendant 8 ans, d’abord sur les interviews puis sur la quotidienne pendant les 4 dernières saisons, j’ai pris beaucoup de plaisir à le faire. Mais avec TPMP et la chaine Animaux, c’était trop de temps et de fatigue. Donc en accord avec Julien Frégonara (directeur de M Radio, NDLR) qui est quelqu’un de formidable, j’ai décidé d’arrêter. Et puis RFM est venu me chercher. Pour moi, c’était aussi un rêve de travailler dans cette station et j’ai eu un super accueil.
BM - J’ai beaucoup aimé travailler avec eux pendant 8 ans, d’abord sur les interviews puis sur la quotidienne pendant les 4 dernières saisons, j’ai pris beaucoup de plaisir à le faire. Mais avec TPMP et la chaine Animaux, c’était trop de temps et de fatigue. Donc en accord avec Julien Frégonara (directeur de M Radio, NDLR) qui est quelqu’un de formidable, j’ai décidé d’arrêter. Et puis RFM est venu me chercher. Pour moi, c’était aussi un rêve de travailler dans cette station et j’ai eu un super accueil.