"Les résultats d’audience ne sont pas bons. Vous connaissez mon attachement personnel à Europe 1 et l’importance d’Europe 1 pour le groupe et pour le paysage audiovisuel français. Pour ces raisons, j’ai décidé de prendre la présidence d’Europe 1" a indiqué Arnaud Lagardère.
"Ce n’est pas complètement nouveau. Je l’ai déjà exercée dans les années 2000 aux côtés de Jérôme Bellay. Mon père, Jean-Luc Lagardère, aussi, à plusieurs reprises. C’est un modus operandi dont j’ai l’habitude quand les choses ne vont pas bien. J’avais ainsi pris la présidence de notre branche sports puis passé la main après l’avoir redressée. L’idée est la même pour Europe 1 : j’en prends la présidence jusqu’au moment où elle sera redressée dans son audience et ses comptes".
"Je ne veux pas fixer de chiffre mais il faudra que l’audience soit bien plus élevée. Notre référence c’est RTL, car c’est une radio qui a une ligne cohérente et est indépendante. Nous visons ce niveau et je suis sûr qu’on peut l’atteindre grâce au professionnalisme des équipes" a également souligné Arnaud Lagardère.
"Ce n’est pas complètement nouveau. Je l’ai déjà exercée dans les années 2000 aux côtés de Jérôme Bellay. Mon père, Jean-Luc Lagardère, aussi, à plusieurs reprises. C’est un modus operandi dont j’ai l’habitude quand les choses ne vont pas bien. J’avais ainsi pris la présidence de notre branche sports puis passé la main après l’avoir redressée. L’idée est la même pour Europe 1 : j’en prends la présidence jusqu’au moment où elle sera redressée dans son audience et ses comptes".
"Je ne veux pas fixer de chiffre mais il faudra que l’audience soit bien plus élevée. Notre référence c’est RTL, car c’est une radio qui a une ligne cohérente et est indépendante. Nous visons ce niveau et je suis sûr qu’on peut l’atteindre grâce au professionnalisme des équipes" a également souligné Arnaud Lagardère.