On a beau tourner le problème dans tous les sens mais l'adaptation des radios aux nouveaux usages de consommation du média est une étape obligatoire, indispensable et impérative. Plus encore, c'est également l'enjeu du référencement qui est aujourd'hui nécessaire pour les centaines de radios locales qui voudraient se faire une place sur les nouveaux outils comme, par exemple, les assistants vocaux. Cette courte vidéo réalisée hier par l'équipe de Radio Graf'hit, station membre de la Ferarock, en dit long sur les difficultés que devraient rencontrer les plus petites radios pour justement se faire une place au milieu des grandes. Il leur faudra d'abord investir dans un "Skill" pour être certaines d'y être répertoriées ou à défaut d'être présente dans la masse sur une plateforme.
4 questions à... Bryan de Radio Graf'hit
LLPR - Quelles conclusions tires-tu de ton test de l'assistant vocal Alexa ?
Bryan - Peu concluant pour les radios de catégorie A... Les deux skills disponibles radio.fr et TuneIn ne trouvent pas certaines radios associatives par exemple, Graf'hit qui est pourtant disponible sur les plateformes n'est pas trouvée. À la place, elle me propose Radio Classique. Cela va être compliqué pour les radios qui ont un nom proche ou similaire par exemple Radio Active à Saint-Brieux, Activ Radio à Saint-Etienne, Radio Active à Val d'Amboise ou Radio Active à Toulon.
LLPR - Quelles sont les solutions pour que les radios locales y soient mieux référencées ?
Bryan - Il faut toujours faire de la vieille technologique pour être référencé. Chez Radio Grafhit nous avons travaillé pour être dispo sur les plateformes. Nous sommes aujourd'hui dispo sur les Box internet, Smart-tv, pour les assistants vocaux nous y réfléchissons. Nous avons peu de moyens, nous devons travailler plus longtemps pour trouver une solution à faible coût. On conseille à nos auditeurs d'utiliser Radioline, un agrégateur français sur les Box, Smartphone, Smart-Tv.
LLPR - Quel est ton sentiment sur l'arrivée des assistants vocaux ?
Bryan - J’espère que demain nous n'aurons pas affaire à des assistants vocaux pour remplacer les agents du service public ou dans les offres de service (achat de bilets ect.) Pour les radios musicales de catégorie A, notre plus-value sera toujours le territoire, nous nous adressons à nos voisins.
LLPR - Penses-tu que le grand public va être séduit par ces nouveaux outils ?
Bryan - Le temps le dira... Il y a 15 ans, avoir une conversation filmée depuis la rue semblait digne du futur. Aujourd'hui, on peut faire des Facetimes au coin de la rue.
Bryan - Peu concluant pour les radios de catégorie A... Les deux skills disponibles radio.fr et TuneIn ne trouvent pas certaines radios associatives par exemple, Graf'hit qui est pourtant disponible sur les plateformes n'est pas trouvée. À la place, elle me propose Radio Classique. Cela va être compliqué pour les radios qui ont un nom proche ou similaire par exemple Radio Active à Saint-Brieux, Activ Radio à Saint-Etienne, Radio Active à Val d'Amboise ou Radio Active à Toulon.
LLPR - Quelles sont les solutions pour que les radios locales y soient mieux référencées ?
Bryan - Il faut toujours faire de la vieille technologique pour être référencé. Chez Radio Grafhit nous avons travaillé pour être dispo sur les plateformes. Nous sommes aujourd'hui dispo sur les Box internet, Smart-tv, pour les assistants vocaux nous y réfléchissons. Nous avons peu de moyens, nous devons travailler plus longtemps pour trouver une solution à faible coût. On conseille à nos auditeurs d'utiliser Radioline, un agrégateur français sur les Box, Smartphone, Smart-Tv.
LLPR - Quel est ton sentiment sur l'arrivée des assistants vocaux ?
Bryan - J’espère que demain nous n'aurons pas affaire à des assistants vocaux pour remplacer les agents du service public ou dans les offres de service (achat de bilets ect.) Pour les radios musicales de catégorie A, notre plus-value sera toujours le territoire, nous nous adressons à nos voisins.
LLPR - Penses-tu que le grand public va être séduit par ces nouveaux outils ?
Bryan - Le temps le dira... Il y a 15 ans, avoir une conversation filmée depuis la rue semblait digne du futur. Aujourd'hui, on peut faire des Facetimes au coin de la rue.