Le CSA rappelle que l’exercice 2021 est resté fortement marqué par la crise sanitaire, avec des impacts en matière d’organisation et de programmation. Une situation qui s’est encore complexifiée pour certains médias de proximité suite aux inondations de l’été 2021. En dépit de ce contexte particulier, les avis sont globalement positifs.
Vous aimerez aussi
-
Le MAG 166 - Derrière la fréquence met les radios locales au premier plan
-
Le "Nostalgie Magic Tour" revient illuminer les fêtes
-
Bel RTL devance le Père Noël avec son calendrier de l'Avent
-
Chaque semaine, Les Indés Radios touchent plus d’un Français sur trois
-
Martin Ajdari, un successeur désigné pour l’Arcom
Il s’agissait du dernier contrôle réalisé sur la base des anciennes conventions, de nouvelles ayant été adoptées en décembre 2021. Sur certaines missions, le CSA dresse un état des lieux prospectif dans le but de situer les éditeurs par rapport à leurs nouveaux objectifs, notamment la durée minimale de programmes qu’ils devront notamment consacrer à chaque mission de service public. Ces durées ont pour but de diversifier la programmation et de valoriser les missions moins concrétisées auparavant. Certains médias de proximité devront d’ailleurs procéder à un rééquilibrage dans leur programmation pour atteindre les durées fixées pour chaque mission, notamment en animation et participation.
En matière de production propre, la production de contenus en ligne a continué sa progression, et la programmation télévisuelle a évolué pour quitter les émissions spécialement conçues pour accompagner les spectateurs pendant les confinements. Le volume de production propre pour l’ensemble des éditeurs progresse de 2% mais reste à un des niveaux les plus bas de ces dix dernières années.
L’exercice 2021 est également une année charnière pour l’accessibilité des programmes, puisque les différents médias de proximité devaient atteindre 50% des objectifs fixés par le Règlement adopté par le Collège d’avis en 2018 en matière de sous-titrage et d’audiodescription. L’ensemble des éditeurs ont dépassé cet objectif en sous-titrage à l’exception de BX1 qui se voit notifier un grief.
Le rapport complet est accessible ICI.
L’exercice 2021 est également une année charnière pour l’accessibilité des programmes, puisque les différents médias de proximité devaient atteindre 50% des objectifs fixés par le Règlement adopté par le Collège d’avis en 2018 en matière de sous-titrage et d’audiodescription. L’ensemble des éditeurs ont dépassé cet objectif en sous-titrage à l’exception de BX1 qui se voit notifier un grief.
Le rapport complet est accessible ICI.